Au détours de la découverte d'un album il y a parfois des moments magiques, une évidence, une belle surprise qui vous colle les neurones au plafond sans jamais vous laisser redescendre Wings Of Steel en fait définitivement parti. Le combo issus de Los Angeles et totalement inconnu sur nos terres avant la sortie de ce premier opus est née de la rencontre de deux musiciens au talent indéniable, le chanteur Leo Unnermark originaire de Suède et le guitariste Californiens Parker Halub. Après un Ep sorti en 2019 qui leur a permis de se faire remarquer sur la côte ouest des Etats Unis, ils sont de retour avec leur premier album Gates Of Babylon qui s'avère être une véritable pépite sans conteste la révélation de l'année. Fortement influencé par des gans issus des eighties voire seventies comme Whitesnake, Judas Priest, Queensrÿche, Crimson Glory ou encore Fates Warning, ce premiers méfait est une véritable révélation et met en valeur la voix exceptionnelle de Leo Unnermark et d’un virtuose de la six cordes Parker Halub. Il suffit d’écouter le superbe “Into The Sun“ pour comprendre immédiatement a qui nous avons affaire, pas de doute nous tenons là un des futurs grand de la scène Metal Internationale. Pour en savoir un peu plus sur ce nouvel ovni sorti de nulle part nous avons soumis à la question les sympathiques fondateurs de Wings Of Steel Leo Unnermark et Parker Halub. Un entretien jovial et décontracté pour une épopée au cœur des années 80. Magnéto les gars c'est à vous !
Vous êtes actuellement en tournée Européenne vous venez de jouer en Allemagne le 10 mai au Bavarian Metalheadz Festival, le 11 mai à Bad Friedrichshall, et le 12 vous étiez en Belgique à Bilzen. Comment se sont déroulés ces trois shows qui marque vos premiers pas sur les terres Européennes ?
Leo. C’est plutôt formidable. Nous avons joué une poignée de concerts en tant que Wings Of Steel. Nous avons vu tellement de personnes du milieu et nous avons eu la chance de rencontrer chacun d’entre eux. C’était incroyable et nous sommes impatients de donner d’autres shows.
Quels sont les différences notables entre le public Européen et celui des Etats Unis selon toi ?
Leo. C’est un peu différent, même aux USA nous avons donné quelques shows, les sponsors qui organisent nos concerts ici sont très chaleureux, il y a beaucoup de fans et d’énergies.
Vous allez jouer pour la première fois à Paris au club Les Etoiles le 16 mai est-ce la première fois que vous venez à Paris ?
Leo. Oui c’est la première fois pour nous deux.
Ce doit être important pour vous je suppose de jouer dans la capitale !
Leo. Hier nous étions en Belgique pour la première fois et demain nous serons à Paris aussi pour la première fois. Pour nous c’est super de voyager. C’est une expérience de découvrir tous ces endroits.
Parker. Je crois que c’est magique car j’ai toujours voulu aller à Paris mais je n’ai pas eu la possibilité d’y aller, d’expérimenter et maintenant de jouer dans la capitale, c’est au-delà de mes rêves.
Pour le moment au sein de Wings Of Steel vous êtes tous les deux les fondateurs de ce combo, sur les routes vous êtes accompagné de différents musiciens comme Marcel Binder à la batterie qui est Allemand Mathieu Trobec à la basse venant de Belgique pensez-vous à l’avenir recruter des membres qui feront partie intégrante de la formation ?
Leo. Nous y pensons. C’est dur d’être indépendant car on s’occupe de tout, venant des USA pour venir jouer en Europe c’est fun d’avoir ces choses-là, mais assurer les premières parties coutent très cher. Nous travaillons toujours avec des musiciens formidables qui ont un but à atteindre avec Wings of Steel. Maintenant avec Wings of Steel nous travaillons avec Stefan John-Bailet à la guitare, Marcel Binder à la batterie ainsi que Mathieu Trobec à la basse. Ce sont tous des musiciens fantastiques. Nous avons hâte de vous les présenter au public pour faire découvrir le son du groupe.
Quelles sont les qualités essentielles qu’il faut avoir pour faire partie du groupe ?
Leo. C’est une bonne question. Je crois que tu dois passer beaucoup de temps pour développer les rapports humain.
Parker. Le souci c’est que nous sommes basés aux USA. C’est difficile de rassembler tout le monde ensemble en même temps. Même si cela coute cher c’est difficile d’avoir tout ça en même temps. Difficile.
Si tu devais décrire un show de Wings Of Steel que dirais tu ?
Leo. Le meilleur show n’est pas nécessairement en rapport avec le nombre de personnes présentes au spectacle, c’est l’expérience acquise auprès de ton public. On distingue et on veut séparer deux choses, l’interprète et le public. Et l’expérience c’est le mix des deux. Nous obtenons cela si l’énergie est très bonne dans le lieu et si les gens reçoivent leur musique. C’est à propos de la qualité de l’interprétation que se fait aussi la différence.
Parker. Ce que je peux rajouter, c’est qu‘il faut s’amuser. C’est très marrant de jouer avec le public. Tant que c’est le cas, ce sera un bon show.
Comment avez-vous travaillé sur ce premier album ? Est-ce que cela a été facile d’écrire les chansons ? Ecrivez-vous beaucoup et par la suite vous faites votre sélection ?
Parker. En fait pour Gates of Twilight pour cette version nous l’avons écrit ensemble. Leo est venu aux Usa pour trois mois, quatre-vingt-dix jours. On a presque enregistré tout l’album pendant cette période. Ecrire et enregistrer. Nous avions beaucoup d’idées, on a tout donné sur l’album. C’est standard et organique.
Est-ce que vous avez commencé à écrire de nouveaux morceaux pour le prochain album ?
Leo. Je pense que l’album parle de lui-même.
Parker. On l’a fait et nous sommes content de l’avoir fait (rires).
Leo. Nous ne sommes pas encore prêts pour réaliser des vidéos, mais on espère que cela viendra cette année. Il y a plein de choses à chaque fois, on apporte quelque chose de nouveau en permanence. Il y a plein de transition, prendre une douche ou peu importe ça dépend de ce que tu fais mais à la fin de cette année tu auras un nouvel album. Oh oui (rires).
A l’écoute de ce nouvel opus on ressent une énorme influence de Judas Priest c’est un groupe important à vos yeux ?
Leo. A mon sens c’est une immense inspiration. Une parmi plusieurs. Des influences des années 70s 80s, 90s. Tu as raison.
Vous êtes jeune et fan du hard rock des années 80 vous portez un tee shirt de Whitesnake et Dokken comment expliqué vous cette passion pour un style qui existait alors que vous n’étiez pas née ?
Leo. Premièrement le Heavy Metal n’a pas d’âges. Nous essayons de le prouver (rires). Nous avons commencé avec plein de choses. Pour faire vite je viens de la musique blues et le blues est ce qui a inspiré et fait progresser la musique pour nous amener vers le rock des années 70s et ensuite plus heavy metal au début des années 80.
Parker. Pour ma part je les ai découvert quand j’avais dix ans en Allemagne. C’est juste la musique que l’on aime écouter, il n’y en a pas d’autres.
Parker comment en est tu venu à jouer de la guitare ?
Parker. Aussi loin que je me souvienne il y avait une guitare qui trainait à la maison, je frappais sur les cordes, je ne savais pas en jouer mais j’aimais vraiment le son de l’instrument. Ensuite quand j’ai eu dix ans j’ai eu ma première guitare électrique.
Et toi Leo comment as-tu découvert que tu avais cette voix incroyable ?
Leo. Je ne suis pas vraiment sur, les gens faisaient des commentaires sur ma voix quand j’avais vingt et un ou vingt-deux ans. C’est à ce moment-là que j’ai entendu dire que j’avais une voix magnifique. C’est comme ça que j’ai toujours sonné depuis le début. Même aujourd’hui depuis que je suis dans ce combo. C’est tout ce que j’ai pour moi (rires).
Comment a débuté toute cette histoire alors que l'un est Suédois et l'autre californiens ?
Parker. Nous nous sommes rencontrés car on fréquentait les mêmes endroits. J’avais seize ans. Il n’y avait pas tellement de lieu où on pouvait se rencontrer pour jouer de la musique. Nos chemins se sont croisés et Leo m’a envoyé un texte simple me disant qu’il voulait faire de la musique avec moi. Et c’était fait.
Tu as su immédiatement que c’était lui pour t’accompagner au sein de Wings of Steel ?
Leo. Je crois aussi que nous avions une vision similaire de ce que nous voulions. Musicalement on s’entendait parfaitement bien. On dirait que ça a fonctionné. Rires.
Finalement vous travaillez comme la nouvelle génération vous êtes totalement indépendant, vous produisez tout, vous vendez vos disques sur les réseaux sociaux, sur vos concerts. Est-ce que c’est important d’être indépendant, c’est une chose que vous aimez ou aimeriez finalement signer avec une grande maison de disque ?
Leo. C’est important pour nous de maitriser le matériel qu’on utilise et que l’on crée. Nous ne sommes pas fixés à être indépendant. Nous sommes indépendants parce que c’est de loin ce qui à le plus de sens pour nous et ça marche.
Parker. Nous voulons être sûr d’avoir toutes les ressources possible pour le faire, faire la meilleure musique possible et de la vie aussi. Nous pouvons le faire et attirer l’attention. Pour les musiciens une chose est importante c’est d’écrire la musique, donner de bons shows mais il ya quelque chose d’autre pour nous, de faire tout cela en plus du business. Deux personnes pour gérer tout à grande échelle c’est difficile de trouver des managers ou un label. Nous sommes là où nous nous trouvons aujourd’hui. C’est être indépendant a été la meilleure décision pour nous.
Le son est énorme sur ce premier opus. Comment avez-vous enregistré ce disque, est-ce que vous avez travaillé dans un vrai studio ou bien un home studio ?
Leo. Nous avons enregistré dans un studio en dehors de Los Angeles dans l’arrière-cours c’est là que nous l’avons enregistré. Ensuite Damien Rainaud (DragonForce, Baby Metal, Fear Factory, Angra) qui est un gars super a fait le mastering et le mixing pour que le tout sonne professionnel. C’est un gars formidable avec qui on aime travailler. C’est une relation professionnelle et un ami aussi.
Dans les années 80s il y avait beaucoup de producteurs très réputés comme Martin Birch, Ted Templeman qui ont donné un son aux formations comme Iron Maiden ou encore Van Halen. Est-ce que vous aimeriez travailler avec des producteurs qui pourrait vous apporter un plus ?
Parker. Honnêtement je m’en fous si c’est un grand nom au niveau de la production ou pas. Ce qui est intéressant c’est d’être stupéfait et d’avoir une vision.
Leo. La chose qui est cool à travailler avec Damien aussi c’est que c’est une bonne relation de travail dans le sens où on a commencé ensemble sur le premier Ep. Nous étions fiers du résultat et nous l’avons vendu sur les tweets et que l’on a fait cela pour l’album suivant. Je crois que l’on va continuer à le faire et faire évoluer le process. Je crois que c’est bon. Un de nos fameux producteur favoris c’est Martin Birch qui a longtemps travaillé avec Whitesnake. Ce sont les producteurs parfaits avec qui se serait super de le faire. Pour la production de Whitesnake 1987 c’est la même colère qui jaillit ce cet opus, il a été produit par Mike Stone et Keith Olsen. Mais ce n’est pas parce que tu as les meilleurs producteurs que tu es heureux. On ne mentionne pas l’argent. Mais on y viendra (rires).
Au sujet de la pochette qui est superbe j’ai pensé à Led Zeppelin en voyant ces ailes !
Leo. Ce n’est pas quelque chose que l’on a mis en exergue par rapport aux titres de l’album. Nous sommes venus avec un nom, Wings of Steel en écrivant des chansons. Nous avons trouvé le nom du groupe et nous sommes mis à écrire les titres de l’album. En ce qui concerne le design de la pochette, nous l’avons dessiné nous-mêmes, nous aimons les couleurs, les contrastes. Tu as les ailes, l’acier. Nous faisons des contrastes. Nous aimons jouer avec ce qu’il y a entre les lignes, tu en as une, donne-moi l’autre ligne. Nous nous reflétons chacun l’un dans l’autre
Il y a dix morceaux sur l’opus dont “Into The Sun“ » qui est long épique avec de nombreuses parties de guitares solos !
Leo. C’est drôle ce titre a commencé quand j’ai commencé à jouer du clavier j’ai trouvé la mélodie principale d’une manière loufoque. J’ai écrit les paroles qui étaient complètement différentes et je l’ai montré à Parker qui a accroché à la mélodie aussi qui est très bonne. Je suis rentré en Suède, il s’est assis pour jouer le titre, il a commencé à travailler sur le projet et il m’a adressé sa version Je lui ai dit que ça me rendait malade car nous recherchions quelques chose. Nous avons recommencé à la jouer avec de la guitare.
Parker. C’est le genre de son qui ne pouvait pas sortir comme ça.
Leo. Ensuite nous avons réécrit les paroles et les parties de guitares pour que cela puisse devenir ce que nous considérons comme un chef d’œuvre.
En tant que chanteur et guitariste est-ce qu’il y a des morceaux qui ont été un challenge à enregistrer ?
Leo. Chaque fois que je me mets à écrire les paroles, j’essaie toujours de le faire avec des mélodies et des rythmes. Tout en un. Parfois ça monte et je crois que c’est bien, et je le remarque. Je constate que je ne veux peut-être pas la faire de cette manière et je le note. Peut-être que je veux une voix plus dynamique et essayer différentes choses jusqu’à ce que cela devienne naturel et que la chanson arrive par elle-même à se mettre en place vocalement.
Parker. Plus tu écris une chanson, plus tu as des idées qui s’ajoutent, et il arrive un point ou cela devient difficile. C’est aussi une question de patience. Certains titres tu t’assoies et tu joues et tu as tout. D’autres tu as la première partie, l’intro, le sujet, le chorus mais tu n’es pas sûr. Parfois tu es dans la douche en train de chanter…et ça vient.
Leo. Parfois tu aimes le titre mais tu n’es pas certain et tu travailles dessus et tu te rappelles que cela fait deux semaines que tu composes et tu finalement tu l’adores. Ça doit tout le temps être comme cela.
Parker. C’est toujours un périple intéressant, parfois c’est la structure, la mélodie. Quand tu es patient il y a toutes les choses musicales qui se produisent et se mettent en place.
En tant que chanteur quels sont tes héros ceux qui t’on transmis le virus ?
Leo. Il y en a eu tellement dans ma carrière. Un de mes héros est Paul Rodgers pour les influences au niveau de ma voix au tout début, David Coverdale pour les paroles, Bruce Dickinson, Steeve Lee de Gotthard et je peux continuer Rob Halford
Parker. Ronnie James Dio mec
Leo. Dio absolument un de mes chanteurs favoris ce n'est pas seulement une voix mais c'est aussi un bon parolier, un caractère et une idole.
Parker. C’est pareil il y a beaucoup de guitaristes Nils Lofgren excellent mélodiste Grand auteur-compositeur, James Hetfield excellent grand guitariste les gens me demandent toujours quel est ton guitariste favori : Je leur réponds toujours John Sykes ; C’est un grand. J'ai d'autres guitaristes préférés Après il y a Michael Schenker, vraiment bon, John Norum, Gary Moore, Dave Meniketti de Y & T et je peux encore continuer et agrandir la liste
Est-ce que vous faites des reprises sur scène ?
Leo. Si tu viens à Paris ou Lille le 17 mai ou d’autres shows à venir tu verras rires
Vous avez sorti un EP éponyme cinq titres très important qui vous a permis de vous faire remarquer, qu'est ce qui a inspiré ce nom Wings Of Steel ?
Leo. Nous sommes revenus de l’enfer pour trouver le nom du groupe, nous avons essayé toute une combinaison de mots et de couleurs, des animaux tout ce que l’on peut penser, Rien n’était à sa juste place. Nous savions que cela devait être organique pour fonctionner
Parker. On avait presque arrêté de chercher a ce moment-là, nous continuons a écrire des chansons. Léo écrivait les paroles je crois que l’on a eu l’idée de ce nom en écrivant le titre “Wings Of Steel“. On s'est dit Ok c’est cool. Quelques jours plus tard nous marchions ensemble et je me suis souvenu de cette idée en me disant : non pas ce nom puis en réfléchissant j’ai acquiescé.
Est-ce que cela a été difficile de choisir les titres figurant sur l’Ep et l'album je suppose que vous en aviez beaucoup d’autres en stocks ?
Leo. Nous avions quelques autres à la fin du processus que nous avons laissées derrière nous. Nous verrons à l’avenir si nous les utiliserons en concert ou quelque chose comme ça. Il n’y a pas eu de questions à se poser, c’était facile.
Parker. Nous avons partagé le temps entre écrire et enregistrer dans le studio, expérimenter et développer le son. Et décider quelle chanson irait sur l’Ep.
Vous avez sorti plusieurs single “Garden Of Eden“ “Leather And Lace“ entre autres est ce que le choix a été complexe avec tant de titres de qualités ?
Leo. Tu me le diras. Rires. C’est toujours difficile évidemment tu aimes toutes les chansons d’une certaine et de différentes manières. Alors tu commences à réfléchir business ou ce que tu ressens personnellement si tu l’écoutes les titres. Nous voulons faire découvrir le plus possible notre discographie. Les gens ne pensent pas que nous ne sommes qu’une seule chose, que les chansons leur présentent différentes facettes. Ils regardent les vidéos qui sont sorties, elles sont différentes. Les morceaux sont différents mais tu peux dire que ce sont des chansons de Wings of Steel. Ce n’est pas une seule chose, c'est varié.
Parker. C’est toujours dur.
Leo. Pour nous ce n’est pas un retour en arrière, tu dois faire un choix et le label aussi. Nous avons besoin d’un hit. Tout le monde cherche ça. Il faut que l'on soit d'accord sur le titre choisi Quand tu as un album ou tu aimes toutes les morceaux ça ne change pas grand-chose finalement.
Est-ce qu’il y aura un autre single qui sera extrait de ce premier disque ?
Parker. : Probablement non, il y aura différentes versions qui sortiront.
Le 5 juillet 2023 vous avez joué à Los Angeles, on a pu voir de nombreux extraits de ce show était ce votre première prestation live ?
Parker. C’était notre troisième concert en fait, nous avions tout filmé les trois soirs et on voulait montrer ce que l’on avait capté. Nous voulions montrer comment le combo se comportait sur scène.
Leo. Il y avait aussi beaucoup de questions a propos du groupe à savoir quel était notre son, nos morceaux. C’est en quelque sorte une réponse à tout ça.
Parker. Nous voulions que les gens connaissent notre potentiel.
Leo. Ce qui est drôle aussi c’est quand tu es réservé par les festivals, ils voulaient savoir combien nous étions pour préparer à manger.
Si vous aviez quelque chose d’important à ajouter pour les fans français que diriez-vous ?
Leo. A ce stade nous souhaitons rencontrer le plus de gens possible sur les deux concerts que nous allons donner à Paris et à Lille. Nous sommes déjà chauds car nous avons pu nous préparer en amont sur les concerts précédent. Ce sera bien de toutes les façons.
Parker. J’ajouterai que nous sommes fiers de ce que nous faisons. Ce ne sera jamais la même chose sur scène. Nous voir en live est la seule réponse que nous apportons. Nous le recommandons grandement.
Leo. : Nous souhaitons véritablement développer nos relations avec la France jusqu’à la fin de nos jours.
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Interview 13 Mai 2024
Pascal Beaumont / Photo DR
Pascal Beaumont et Laurent Machabanski (Traduction / Retranscription)