mardi 28 décembre 2021

NICOLETTA et les BLUEBELL GIRLS // Live Report // En Concert @ Paris Le Lido 4 Novembre 2021.



C'est la première fois depuis 20 ans que le Lido de Paris accueille un concert dans cette salle, une belle occasion p
our fêter les 50 ans de scène de Nicoletta avec deux concerts les 4 et 7 novembre 2021.

Cette belle salle du Lido, située en plein cœur des Champs Élysées est un lieu magnifique qui sied pour cette soirée comme un écrin à notre Nicoletta nationale.

Pour ouvrir la soirée, la troupe du Lido propose un best-of de leur spectacle habituel et assure une prestation impeccable, avec ses Bluebell Girls toutes plus sublimes les unes que les autres.

Après un petit entracte, voici l'intro du spectacle de Nicoletta avec "A quoi sert de vivre libre ?" de 1975, une belle retrouvaille entre le public et Nicoletta, l'occasion de la revoir depuis un bout de temps.

Et c'est toujours un grand plaisir de réentendre tout les titres qui ont marqué nos vies, autant de souvenirs avec "Ma vie est un manège", "Les Volets Clos", "Il Est Mort Le Soleil" et quelques belles reprises comme "Quand on n'a que l'amour" ou "Amazing Grace", avec cette voix authentique, aussi belle qu'un diamant brut.

Puis un invité Eric Truffaz viendra la rejoindre sur la scène du Lido pour un petit moment très touchant sur la chanson "Où es-tu passé mon Saint-Germain-des-Prés ?".

Enfin, pour finir le spectacle, retour sur le grand classique "Mamie Blue" puis sortie de scène, mais inutile de vous le dire, le public ne la laissera pas partir comme ça. Pour le plus grand plaisir de tous,
"Femmes De Paris", et le grand constat d'une vie avec "La Musique", qui clôturera en apothéose ce spectacle des deux dates exclusives dans ce Lido rempli de bonnes vibrations.




SetList :

A quoi sert de vivre libre ?
Ma vie est un manège
Les Volets Clos
Liberté mon amour
Je n’vous aime plus
Mon seul refuge
J'attends, j'apprends
Un homme
Quand on n'a que l'amour
Il Est Mort Le Soleil
Les Hauts Murs
Où es-tu passé mon Saint-Germain-des-Prés ?
La solitude ça n'existe pas
Samba Cançao
Fio Maravilla
Amazing Grace
Mon Jésus-Christ
Mamie Blue
Encore:
Femmes De Paris
La Musique

Thierry Cattier
Photos : Th. Cattier /
Shooting Idols

lundi 27 décembre 2021

STEVE VAI // News // Clip et Nouvel Album "Inviolate".


STEVE VAI News/ Vidéo "Little Pretty"

Le CLIP ICI 


Nouvel album "Inviolate" le 28 janvier 2022
via Favored Nations/ Mascot Label Group


dimanche 26 décembre 2021

FOLLE ILLUSION // Interview Leona Winter // Paris @ Théâtre La nouvelle Eve Décembre 2021.

 
Pour finir l’année 2021, venez découvrir cet excellent spectacle musical ambiance cabaret transformiste, où se mêlent les ressemblances de stars, l'humour, les strass et les paillettes. 

A l'affiche :
* Dès votre arrivée, vous serez accueilli par la maîtresse de cérémonie : La divine Carolina qui vous accompagnera en chanson live tout au long de la soirée.
* Léona Winter en meneuse de revue, ex demi-finaliste de The Voice et actuellement en lice sur Paramount+ où elle représente la France dans l'émission internationale Queen Of The Universe co produite par RuPaul
* Icee Drag On actuelle Golden Buzzer de l'émission La France à un Incroyable Talent sur M6
* Golda Shower au casting du film Les Folies Fermières aux côtés d'Alban Ivanov, Sabrina Ouazzani et Michèle Bernier début 2022
* Gyzel Schatzi  la sublime artiste Franco Canadienne qui enflamme les soirées parisiennes depuis des années,
* Jenny FTBN et ses ressemblances époustouflantes ainsi que nos trois danseurs professionnels Mike, Bruno et Ancelot.

Nous avons eu la chance de pouvoir échanger avec
Léona Winter et nous sommes ravis de vous faire partager cette rencontre.


Tu as commencé très fort, à l’âge de 8 ans près de Perpignan, où tu apprends le chant, la danse et la comédie. Quels souvenirs gardes-tu de tout ça ?

Léona Winter Olala Je garde des souvenirs de cette époque absolument merveilleux. En fait le fait de faire de la danse, du chant, du théâtre, ça m'a vraiment permis de me développer en tant de personne, ça a développé ma personnalité, ça a développé beaucoup beaucoup de choses en moi que je cachais à l'époque, c'est pas facile de grandir en temps que gay même si je ne le savais pas, mais quand même, il y avait quelques petits indices qui pouvaient laisser deviner. Donc voilà non, je ne me souviens pas du petit garçon chétif et timide, et à partir du moment où j'ai fait de la danse et du chant, ça m'a libéré en quelque sorte et ouais, ça a déjà été l'amorce en tout cas de ma vie d'aujourd'hui.

Quelles ont été tes premières influences artistiques ?

Léona Winter Céline Dion ! Alors ma première influence artistique c'est Céline Dion c'est sûr c'est clair ! même ma maman déjà quand elle a été enceinte elle mettait le casque avec le Walkman avec les chansons de Céline Dion, avant même que je naisse, je dansais avec du Céline Dion dans le ventre puis après oui pour moi c'est Céline. Céline c'est ma principale référence depuis tout petit.

Tu es devenue le premier artiste transformiste à devenir Miss Europe Continental 2017 et en 2018, tu représentes la France au Chili pour le "Switch 2 Mondial" que tu remportes haut la main. Comment se passe ta carrière et ta vie depuis ce beau parcours international ?


Léona Winter Comment se passe ma vie ? Elle va à 1000 à l'heure ! Mais tant mieux je préfère que ce soit comme ça plutôt que l'inverse, mais sinon, non je prends la vie comme elle vient. Je suis mon destin, mon chemin, moi je suis quelqu'un qui pense qu'on a tout qui est déjà tracé, qu'il faut ouvrir certaines portes pour se faire entendre. Mais voilà, je laisse la vie couler et surtout je profite des moments qui me sont donnés de vivre parce que j'ai quand même conscience qu'il y a peu de monde qui a la chance de vivre une vie comme la mienne et j'essaie surtout de la partager avec tout ce qui m'entoure. J’essaie de partager toutes ces émotions, tous ces sentiments, toutes ces expériences, parce que pour moi la vie est faite de partage et de pas grand-chose d'autre d'ailleurs.

En 2019 tu participes à The Voice, une fois de plus tu es la première artiste transformiste dans ce show où tu vas jusqu'à la demi-finale, comment cela s'est-il passé ?

Léona Winter Alors c'était très stressant ! C'était encore une fois beaucoup beaucoup de travail parce que je crois que à un moment j'ai cumulé 4 coachs vocaux différents, donc j'ai vraiment essayé de mettre toutes les chances de mon côté et puis après j'ai juste laissé les émotions venir, délivrer mes messages. C'était assez fou comme expérience. Je pense que c'était l’une des plus difficiles que j'ai faites dans ma vie, mais si c'était à refaire je le referais et vraiment telle quel.

Quelle est la difficulté principale dans un spectacle de transformisme ?


Léona Winter ohh ça c'est une grosse question ! En fait, le drag, le transformisme, chacun l’emmène un peu là où il veut. Moi, personnellement ma plus grosse difficulté, ou en tout cas ce que j'essaye de réussir, ce que j’essaye de transmettre, à chaque fois, c’est vraiment des émotions. C'est de me surpasser, de me dépasser, toujours aller plus loin, toujours apprendre plus des autres, des expériences des autres, des gens que je croise dans ma vie. Et puis oui, je pense que pour moi le défi c'est ça, c'est de se renouveler tout en restant soi-même au départ.

Tu reviens de Londres ou tu as participé à "Queen of the Universe" avec une belle version de "Non je ne regrette rien", comment s'est passé l'accueil là-bas?


Léona Winter L’accueil a été extraordinaire, je ne connaissais pas Londres. Ça a été une très très belle découverte même si ça ne m'attirait pas au début. Je vais être très sincère, Londres ne m'a jamais attiré, mais sincèrement j'ai découvert une vie… quelque chose d'incroyable, de libre, de sans jugement, oui une liberté en fait, une liberté de vie très agréable. Oui moi je suis toujours un bisounours de toute façon. Je vois la vie avec les yeux grands ouverts, avec des cœurs dans les yeux, avec des étoiles partout. Donc oui, c'était très beau, très intense, très fatigant. Là pour le coup, c'est vraiment l'expérience la plus difficile que j'ai faite parce qu'elle est à un niveau international tellement dingue que c'est très compliqué. Mais en même temps personne ne vit ce genre d'expérience donc je suis tellement fier, tellement heureux d'avoir vécu ça, tellement honoré d'avoir pu le faire. C'est vraiment une expérience très très forte et incroyable.

Comment as-tu rejoint l'équipe du spectacle "Folle Illusion" ?

Léona Winter   Je connais Richard le dirigeant de la société Amor Y Tortilla Productions depuis des années car nous avions travaillé ensemble sur la production de concerts au Réservoir et sur la Dame de Canton entre autres. Nous nous sommes ensuite un peu perdus de vue. Fin novembre 2021 le hasard de la vie nous a rapprochés et il m'a proposé d'intégrer Folle Illusion en tant que meneuse de revue car il voulait changer son casting. Le projet m'a beaucoup plu. La salle évidemment, que dire de la nouvelle Ève qui nous accueille, c'est juste incroyable. Il y a aussi d’autres artistes qui sont des talents extraordinaires, que j'aime beaucoup. Et voilà, l'aventure s'est lancée comme ça ....

Quelle est pour toi la mission d'une meneuse de revue ?

Léona Winter Je n’ai pas la prétention de vouloir mener la revue alors oui je suis peut-être en lead en principal sur certains tableaux, normalement les tableaux de groupe, mais je pense vraiment que cette revue est plus sur le partage de tous les talents. Elle est sur un spectacle lié, sur une symbiose et une cohérence de chaque numéro. Après maintenant, effectivement, ça fait reposer beaucoup de poids sur mes épaules. J'ai un stress qui est assez particulier et une responsabilité qui est forte. Mais moi, ce que j'ai envie de montrer, en tout cas, c'est la singularité de chacun qui fait aussi finalement l'ensemble d'une très très grande beauté et d'un très très grand talent

En quelques mots, parle-nous de "Folle Illusion" ?

Léona Winter En quelques mots… « Surprise », « Talent ». En fait, je pense que le titre ça représente tout. « Folle Illusion », c'est de l'illusion à un niveau incroyable.

Peux-tu nous parler de tes prochains projets ?


Léona Winter Il y a encore Queen of the Universe qui est en train d'être diffusé sur Paramount plus dans le monde entier. Et puis après, il y aura un 2nd single qui va sortir en février et qui sera d’ailleurs présenté en exclusivité sur la scène de la Nouvelle Eve en février, et puis après il y aura des projets musicaux. Peut-être même des projets télé, je ne peux pas beaucoup en parler mais vous verrez très bientôt car nous avons beaucoup de projets avec Amor y Tortilla Productions.



La Nouvelle Eve - 25 rue Fontaine 75009   Paris
Les Mercredi 12 Janvier 2021 Jeudi 10 Février Jeudi 10 Mars 2021et Jeudi 7 Avril 2021...
Réservation cliquez ICI

Th Cattier - Photos : Th. Cattier / Shooting Idols


vendredi 24 décembre 2021

FOLLE ILLUSION // Interview Carolina // Paris @ Théâtre La nouvelle Eve Décembre 2021.

 
Pour finir l’année 2021, venez découvrir cet excellent spectacle musical ambiance cabaret transformiste, où se mêlent les ressemblances de stars, l'humour, les strass et les paillettes. 

A l'affiche :
* Léona Winter en meneuse de revue, ex demi-finaliste de The Voice et actuellement en lice sur Paramount+ où elle représente la France dans l'émission internationale Queen Of The Universe co produite par RuPaul
* Icee Drag On actuelle Golden Buzzer de l'émission La France à un Incroyable Talent sur M6
* Golda Shower au casting du film Les Folies Fermières aux côtés d'Alban Ivanov, Sabrina Ouazzani et Michèle Bernier début 2022
* Gyzel Schatzi  la sublime artiste Franco Canadienne qui enflamme les soirées parisiennes depuis des années, Jenny FTBN et ses ressemblances époustouflantes ainsi que nos trois danseurs professionnels Mike, Bruno et Ancelot.

Dès votre arrivée, vous serez accueilli par notre maîtresse de cérémonie : La divine Carolina qui vous accompagnera en chanson live tout au long de la soirée, et avec laquelle nous avons eu la chance de pouvoir échanger : voici 
l'interview de Carolina, une sulfureuse personnalité qui ne manque pas de charme.

Peux-tu nous raconter en quelques mot ton parcours, Madrid, New York, Milan puis Paris ?

Carolina: Mon dieu mais tu as combien de temps ? Tu as toute la nuit ? Alors écoute, Madrid, c’est simple. J’ai quitté Madrid quand j’étais une jeune femme. Une jeune femme pleine d’espoir, pleine d’envie et pleine de désirs. J’avais été élevée chez les pères jésuites. D’ailleurs, j’en parle dans certaines de mes chansons.  Et donc avant qu’ils ne m’initient à d’autres choses, je suis partie. Je suis partie aux Etats-Unis, parce qu’ils parlaient beaucoup espagnol, moi je parlais anglais très facilement, et donc voilà je suis partie aux Etats-Unis. Alors j’ai beaucoup chanté, et là-bas j’ai beaucoup fais des revues.  Et là-bas, j’ai rencontré un Italien, Eros, pour pas le nommer.  C’est comme ça que je suis revenue en Europe. Et donc, après Eros je suis revenue à Paris. Je dis « revenue » car, quand j’étais petite, j’étais là déjà. Et donc voilà. Mais Je n’arrête pas car je repars à Madrid, je vais être bientôt à Boston pour un gala exceptionnel sur le droit des femmes, le doit des femmes blondes avec une frange rouge. Et donc voilà, je suis une globe trotteuse.

En 2010, tu lances le "Carolina Show", la première émission de télé sans camera, puis en 2017 tu transforme l’émission en direct sur Facebook ? Raconte nous tout ça !

Carolina: Ecoute, c’est parti d’une idée folle, de Grégory Sauerborn qui est le directeur du cinéma Chaplin, et qui m’a dit un jour « Carolina, et si on faisait un show ici avec toi, on va appeler ça le Carolina show »
C’est parti comme ça, et avec mes acolytes, on a dit bah tiens si on faisait le Carolina show.
Alors moi qui aime beaucoup la télévision, à l’époque, on n’avait pas de moyens de télévision. J’ai dit bah on va faire comme une émission de télévision mais sans les caméras. C’est devenu la première émission de télé sans caméra. C’était un plateau d’artiste, j’ai reçu des tas d’artistes. Bon, je pense que tu as vu tous les artistes que j’ai reçus. Connus, certains très connus, et l’idée était de faire découvrir des artistes moins connus en décloisonnant. Parce que, par exemple, je programmais du rap, du jazz. Je programmais de l’opéra, de l’opérette, et avec des styles très variés, pour montrer que l’art peut nous toucher dans toutes ses formes. Et des fois tu venais au spectacle, tu disais moi je viens parce que j’aime un chanteur qui est là, un chanteur de variété, et tu découvrais un film, tu découvrais un livre, tu découvrais…  voilà. J’ai essayé de décloisonner parce que moi je suis pour que la culture nous atteigne tous mais sous des formes différentes. Ça a eu un énorme succès.
Et voilà, après, j’ai eu d’autres obligations à l’étranger. On a arrêté mais c’était très très bien le Carolina Show, et j’espère un jour le reprendre ici, à Paris. Je sais que depuis on a essayé de nous égaler mais c’était très difficile. Ah bah non, ils n’arrivent pas à la cheville rouge !

Comment s'est passée ta participation à ce spectacle "Folle Illusion" ?

Carolina: Folle illusion, c’est le producteur, Richard Bertrand. Il me connaît depuis plusieurs années, et il me dit écoute Carolina, j’aimerais bien faire un gros truc avec toi. Alors quand il m’a dit « un gros truc », j’ai dit qu’est-ce que c’est, parce que lui il a des mœurs un peu bizarres. Il m’a dit on va faire un énorme cabaret et lui il me produisait dans mes spectacles à droite à gauche mais lui il me dit j’aimerais vraiment que l’on monte le niveau mais avec des drag queens. Je lui dis moi je ne suis pas Drag Queen. Moi, une femme artiste comme moi, elle ne peut pas forcément se mêler avec des drag queen qui sont jeunes, formidables, sveltes. J’ai été jeune, j’ai été svelte, j’ai été plus belle, encore plus belle que ce que je suis là. Figure-toi qu’il m’a dit bah ce n’est pas grave on va faire ça avec des super artistes. J’ai dit écoute c’est formidable, moi je viens, mais attention. Attention, moi je chante mes chansons et je ne fais pas de ressemblance. Je lui dis si tu veux tu fais la ressemblance de moi. Bientôt chez Michou, il va y avoir des personnages qui vont faire Carolina. Donc, en toute simplicité, je suis venue chanter et découvrir des artistes formidables. Formidable, il n’y a que des artistes formidables sur ce plateau, que des artistes formidables !

Tu es la maitresse de cérémonie..

Carolina:
Oui oui, si tu veux, maitresse de cérémonie, mais ça me va tellement bien ! Mais c’est parce que je sais faire ça, c’est dans mon ADN ! J’adore présenter. J’adore présenter les artistes, si tu veux, c’est pour ça que j’ai fait le Carolina Show aussi. Moi, j’aime bien présenter les artistes et j’aime bien surtout quand les artistes sont de haut niveau. J’adore être entourée d’artistes de haut niveau, des artistes brillants.
Ils te tiennent la dragée haute, et donc t’es obligé de te dire bon bah voilà il y a de superbes artistes. Je suis très contente, mais moi je chante quelques chansons avant, et après, pendant le spectacle, je chante, je danse aussi… 

Après la première représentation de "Folle Illusion", vous venez de changer le casting, comment cela s'est il passé ?

Carolina:
Ha tu sais, c’est le producteur, il en a eu marre de la distribution précédente. Il a dit hop hop hop. Il a viré la patronne, l’ex-patronne, et il a dit hop hop hop, il en a eu marre.
J’avoue que c’était un peu compliqué émotionnellement au niveau de l’égo tout ça etc.
Et donc, il a confié la direction artistique, la mise en scène à Miguel Ange Sarmiento. Miguel-Ange a fait un nouveau casting, il a gardé les meilleures et il en a pris d’autres, aussi bonnes. Sont venues nous rejoindre dans l’équipe Golda Shower, formidable, elle est vraiment formidable ; Gyzel Schatzi il y a un autre danseur qui est venu et il y a une partie de l’ancienne distribution qui est là. Et voilà, on est dans une équipe formidable avec une super ambiance, avec un très bon état d’esprit d’équipe. avec une super mentalité, et ça, je pense que là c’est gagné déjà !

Les spectacles de cabaret et plus particulièrement de transformisme sont plus prisés depuis le début de la pandémie.  Penses-tu qu'après les périodes difficiles qu'on vient de traverser, les gens ont besoin de légèreté, de fraîcheur ?

Carolina: Mais je pense, je pense que les gens ont besoin de choses vraies. Alors ça peut paraître paradoxal car on dit bah certains artistes sur scène, surtout nous les artistes de cabaret, on est parfois très grimés. Je parle des Drag Queens, parce que moi c’est naturel ! Mais par exemple les Drag Queens elles sont très grimées mais ces artistes sont tellement bons, tellement authentiques, que sous cet apparat très fastueux, sous ces lumières, il y a beaucoup de sensibilité, beaucoup d’humanité. C’est vrai que je pense que les gens ont besoin en ce moment de fête, ils ont besoin de rire, de sourire. Ils ont besoin qu’on leur fasse oublier le quotidien qui n’est pas évident et je pense que les spectateurs, le public, a été en manque d’artistes. On s’est rendu compte que les artistes sont importants pour un public, pour une société. Il y a des sociétés où il n’y a pas d’artiste et on sait dans quel état sont ces sociétés qui ne mettent pas un point d’honneur à faire vivre les artistes. Donc, oui je pense que les gens ont besoin de rire, de sourire et alors, oui, ce goût pour le transformisme, oh bah je pense que c’est vieux comme le monde, ce désir… c’est peut-être une façon de se projeter, de se dire moi je n’ose pas mais j’aime voir les autres oser.

En quelques mots, parle nous de "Folle Illusion" ?

Carolina: Oh, « La Folle Illusion », de ce que j’ai vu moi, dans les répétitions, c’est un spectacle qui s’enchaîne. Il y a une cohérence entre les numéros. C’est-à-dire que on passe d’un numéro à l’autre mais parce qu’il y a du sens. Ce n’est pas une succession de numéro où chacun va faire son petit show, ce n’est pas une succession de numéro de chiens savants. Il y a, je pense, j’espère, de la poésie qui va se dégager de tout ça. C’est comme, on est tous des artistes, on est tous des coureurs de fond et on se passe le flambeau. On se dit tiens regarde, je viens de finir cette scène, je l’ai remplie de mon énergie, de mon amour et des applaudissements du public. Elle est pour toi, je te l’offre. C’est ce que nous dit Miguel-Ange, il nous dit tout le temps, faites en sorte d’offrir la salle, le public, à celui qui vient après. Je trouve que c’est joli cette idée de se passer le flambeau.

Peux-tu nous parler de tes prochains projet à venir ?

Carolina: Olala ! Mes projets à venir, je suis toujours en ébullition, alors avec Richard Bertrand, mon producteur, ça n’arrête pas ! Il a mille idées à la seconde. Mais moi je partage ma vie entre la France et l’Espagne et je tourne beaucoup à Madrid. Je suis entrain de terminer un long métrage qu’on a mis des années à faire avec Pedro, un long métrage parce que l’on se connaît depuis longtemps. Ca a duré quelques longues années car ce sont des caméras à la main, à l’épaule. Il m’a suivi et on a visité des lieux ensemble. C’est une rétrospective de Madrid et de la Movida.
Il y a ce film qui va sortir bientôt, il y a d’autre projets où on me demande d’intervenir à plein de lieux pour chanter, pour jouer des scènes. Là, je vais tourner pour Canal+ un moyen métrage, normalement on fait ça en février/mars pour l’année prochaine, enfin, pour juin quoi. Je ne peux pas trop en parler, je ne peux pas dire le titre mais c’est avec le Canal+ !

Plusieurs de tes clips son disponible sur le net, à quand un CD ou un DVD ?

Carolina: On a déjà fait un cd, un 5 titres, oh non pas un 5 titres, un 2 titres. Mais tu as raison ! On n’a toujours pas fait de cd ! Mais c’est quoi ces histoires Richard Bertrand, il faut vraiment qu’on fasse… Non on va faire un clip bientôt d’une de mes chansons que j’aime beaucoup, qui a été adaptée d’une chanson française connue adapté de Rémi Cotta, qui est mon metteur en scène. Et donc Rémi, il nous a concocté une chanson que je vais enregistrer bientôt. Et puis, il y a l’album, oui on en parle avec Richard depuis l’été dernier. On se dit tiens, pour l’été prochain, on devrait faire un album. Mais là, on est pris dans cette histoire de tout ça donc ça prend beaucoup de temps, mais j’espère qu’on aura l’album pour l’année prochaine !

Ta relation avec Miguel Ange Sarmiento peux tu nous en parler ?...

Carolina: Grande histoire d’amour, de fraternité, de sororité. On partage beaucoup, on se soutient les uns les autres. J’ai souvent reçu Miguel-Ange dans ces émissions pour tous ses différents projets. Et je sais qu’il ne manque pas de m’encourager, et je le vois là, dans le travail qu’il fait dans la mise en scène. Il est très attentif avec les artistes et il a été très attentif avec moi. Il n’en a pas fait trop pour moi parce qu’on se connaît bien. Et Rémi Cotta, qui ne manque pas, par son talent, de nous faire briller tous les deux.


La Nouvelle Eve - 25 rue Fontaine 75009   Paris
Les Mercredi 12 Janvier 2021 Jeudi 10 Février Jeudi 10 Mars 2021et Jeudi 7 Avril 2021...
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Th Cattier - Photos : Th. Cattier / Shooting Idols

mercredi 22 décembre 2021

FOLLE ILLUSION // Photo Report // En Spectacle @ Paris La Nouvelle Eve Décembre 2021.

 
Pour finir l’année 2021 Avec cette excellent spectacle musicale vous pourrez assister a des numéro de cabaret avec ce spectacle Transformiste où se mêlent les ressemblances de stars, l'humour, les strass et les paillettes. Vous allez y découvrir les artistes suivants.

* Léona Winter en meneuse de revue, ex demi-finaliste de The Voice et actuellement en lice sur Paramount+ où elle représente la France dans l'émission internationale Queen Of The Universe co produite par RuPaul
* Icee Drag On actuelle Golden Buzzer de l'émission La France à un Incroyable Talent sur M6
* Golda Shower au casting du film Les Folies Fermières aux côtés d'Alban Ivanov, Sabrina Ouazzani et Michèle Bernier début 2022
* Gyzel Schatzi  la sublime artiste Franco Canadienne qui enflamme les soirées parisiennes depuis des années, Jenny FTBN et ses ressemblances époustouflantes ainsi que nos trois danseurs professionnels Mike, Bruno et Ancelot.

Dès votre arrivée vous serez accueilli par notre maîtresse de cérémonie : La divine Carolina qui vous accompagnera en chanson live tout au long de la soirée. Et
nous allons aujourd’hui vous faire partager l'interview de Carolina cette sulfureuse personnalité qui ne manque pas de charme.




 






La Nouvelle Eve - 25 rue Fontaine 75009   Paris
Les Mercredi 12 Janvier 2021 Jeudi 10 Février Jeudi 10 Mars 2021et Jeudi 7 Avril 2021...
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Photos : Th. Cattier /
Shooting Idols

 

mardi 21 décembre 2021

CHRONIQUE CD // MAGMA // "Eskahl 2020" Sortie le 3 Septembre 2021.

 
Groupe : Magma
Titre : Eskahl 2020
Date de Sortie : 3 septembre 2021
Label : Seventh Records

Une tournée de Magma, c'est toujours un événement. Mais celle-ci est à, marquer d'une pierre blanche. Le public ne s'y trompe pas, et nous non plus!

Bien-sûr, il y a eu du mouvement au sein du groupe, mais l'esprit fusionnel est intact et enchante nos oreilles. Ce concert reprend les dates de Perpignan, Toulouse et Bordeaux.

Toujours très inspiré, Magma dévoile sa palette sonore infinie. Pour le coup, c'est un voyage extraordinaire auquel nous participons. Classique, mélodique, choral, électrique..., tout est déroutant, et planant. C'est ce que l'on cherche. Abolir les limites, et se laisser envahir.

Christian Vander reste le maitre d'oeuvre, l'âme du groupe. il a su s'entourer de sang neuf, et pourtant si percutant. Le chant de Stella Vander, toujours très présent et précis habille chaque morceau. Cet univers psychédélique ramène à l'origine, pouvoir tout se permettre, pourvu que ce soit bien!

Nous avons ici un grand live, de grands musiciens, une grande page d'histoire, et nous n'avons plus qu'à apprécier et surtout se déplacer pour participer à la fête!!!


Les Titres :


CD 1
01 Volume 1
02 Theusz Hamtaahk – Fragment
03 Kobaïa
04 For Tomorrow

05 Volume 2
06 Wurdah Itah – Fragment
07 Mekanik Destruktiw Kommandoh – Fragment
08 Auroville

Ricken


lundi 20 décembre 2021

BALLS OUT // News // Concert a Lyon ( 1ere Partie des Nashville Pussy) 24 mai 2022.

 

Balls Out News/ Concert en ouverture
de NASHVILLE PUSSY à Lyon le 24 mai 2022


BALLS OUT ouvrira pour les américains de NASHVILLE PUSSY le 24 mai 2022, au Rock ‘n’ Eat à Lyon ! Une soirée placée sous le signe du rock ‘n’ roll pur et dur !

Réservation ICI

Evénement FACEBOOK


D’autres dates seront bientôt annoncées... Stay tuned !


Pour rappel, “VOLUME 1 : GET DIRTY”, le premier EP de la nouvelle trilogie de BALLS OUT est disponible depuis le 03 décembre sur toutes les plateformes
digitales via ROCK CITY MUSIC LABEL et contient, entre autres, le titre “GET DIRTY (WILD AND NASTY)”, enregistré avec RUSTY BROWN, chanteur d’ELECTRIC MARY

OFFICIAL SITE

samedi 18 décembre 2021

CHRONIQUE CD // STRANGLERS // "Dark Maters" Sortie le 10 Septembre 2021.


Artiste : The Stranglers
Titre : Dark Matters
Date de sortie : 10 septembre 2021
Label : Coursegood
Genres : Rock


Et voici le dix-huitième album studio du groupe! Le Covid a emporté Dave Greenfield, mais il figure malgré tout sur la majeure partie des morceaux. Et cela nous fait bien plaisir, de sentir sa patte si particulière.
Si cet album doit être leur testament, c'est bien dommage. Son ambition artistique est indéniable, et présage d'une éventuelle suite pleine de surprises. Mais pour l'heure, les textes poétiques et les mélodies ciselées tiennent toutes leurs promesses.
Ce bel édifice recèle du classique et de l'audacieux. Faire cohabiter "This song" avec "The line", "The last men on the Moon" et "White stallion" sur ce disque, révèle l'alchimie qui a présidé à sa réalisation.
Beaucoup de thèmes sont abordés par le groupe... Pas tous réjouissants, mais avec des couleurs musicales très éclectiques, et électriques. Il y a des cordes en tous genres, du chant rock et rauque, du clavier, et tout ça nous fait dire que l'on peut être et avoir été.
Ici, pas de conseils superflus. On écoute à s'en faire péter les tympans, tant ce qu'on aime chez The Stranglers nous tend les bras!


SetList :

Water
This Song
And If You Should See Dave...
If Something's Gonna Kill Me (It Might As Well Be Love)
No Mans Land
The Lines
Payday
Down
The Last Men on the Moon
White Stallion
Breathe

La version française comprend un titre bonus : la version chantée en Français de Down

Ricken

 

BLACK HELLBORE (Anthony Osche Guitariste) // INTERVIEW // "Disorder" Paris 22 Novembre 2021.

 



Vous sortez aujourd'hui votre album "Disorder",  pouvez-vous nous en dire un peu plus sur votre rencontre entre Cyrielle et toi ?

Anthony Osche : On était tous les deux élèves du guitariste ex ADAGIO  Stéphan Forté... Il ma parlé de Cyrielle, et m’a conseillé au moment où elle envisageait de sortir un album de m’occuper de tout ce qui était guitare basse claviers… Je l’ai contactée et on a monté ce projet à ce moment-là voilà

Quels sont les groupes qui t’ont donné envie de faire de la musique / Guitare ?


Anthony Osche : J'ai commencé à  jouer de la guitare grâce a des groupes comme Ramstein ou KORN quand j’avais à peu près 12 ans. Et j’ai évolué  vers des styles un peu plus compliqués avec des découvertes de Children of Bodom évidemment et c’est à ce moment- là que je me suis rendu compte que cette musique pouvait être tres accée sur la guitare. et que ça pouvait être extrêmement complexe à jouer en fin de compte. Et ma vraie découverte c'est Yngwie Malmsteen. Et aujourd’hui encore j’écoute beaucoup de musique progressive comme Dream Theater ou Symphonix

A quel âge as- tu commencé à apprendre la guitare ?

Anthony Osche : C'était à l'âge de 12 ans ; j’ai commencé aussi à prendre des cours de piano à l'âge de 5 ans mais je dois avouer que j'ai détesté çà tout simplement.
Tout ce qui était solfège pour moi c'était un peu à gerber... et la guitare était une révélation en fait de voir l'image de ces mecs qui avaient envie d’envoyer vraiment du lourd sur scène ! C’était une vraie révélation ! c'est à 12 ans que je me suis mis a fond.

Te souviens tu de ton 1er concert ?

Anthony Osche : Oh la oui je me souviens bien, c'était dans un petit bar qui s'appelait le café du commerce au fin fond de la lorraine dans un petit patelin. Le bar était blindé, c’est vrai que c'est des super bon souvenirs. C'était avec mon tout premier groupe on s’appelait ILION on faisait du trash métal en fait.

Quels on été tes premiers groupes ?

Anthony Osche : Mon 1er groupe a été donc ILION   Et puis ensuite j’ai eu un second groupe de def metal technique : AUTOLYSE ; avec de bon amis avec qui je suis encore en contact aujourd’hui.  Je dois dire que ça n’a jamais été ma tasse de thé musicale, donc je ne suis pas resté longtemps dans ce groupe ;  je me suis ensuite dirigé vers Stéphan Forté qui m’a orienté vers Cyrielle, car elle avait un projet musical qui se rapprochait de ce que je cherchais.  Et c'est comme çà que Black Hellebore est né.

Quels sont les groupes que vous écoutez et quels sont vos goûts musicaux ?

Anthony Osche :
les principaux groupes que j'écoute DREAM THEATER , Symphonix  au niveau des guitaristes je suis un très grand fan de Steve VAI ou encore de Jason Becker. Voilà en gros de la musique assez pêchue, assez technique, en gros on a fait le tour de la question.  Sinon je suis également un grand fan de classique : Brahms Mozart Paganini entre autres.

D'où vient le nom du groupe et quelle est sa signification ?

Anthony Osche : En fait le groupe n’avait pas encore de nom durant le développement de l'album. Et c’était problématique pendant un moment jusqu’à ce que l’on tombe sur cette idée de fleur. Les hellébores noires a été une idée qui nous a tout de suite plu ; cette fleur qui existe en blanc ou en noir évoque une certaine dualité entre la lumière et l'ombre. Et également une dualité entre la fragilité et le côté poétique de la fleur, et bien qu’elle ne pousse qu’en hiver, elle montre une certaine résistance aussi. Et en fait çà définit bien ce que l’on fait. Un aspect poétique mais une résistance également.

Comment créez-vous vos compositions, y a-t-il un déclencheur, un moment propice ?

Anthony Osche : Au niveau de la composition il n’y a absolument aucune règle. Ca peut partir d'une idée mélodique de chant, une ligne de guitare, un riff qui me vient le matin, quand je me lève ou je me dis «  tiens, çà, çà  peut être sympa.
Puis je m'installe derrière mon PC et mon Ampli, et je commence à broder autour de cette idée, jusqu’à ce que le morceau soit fini en fait. Et çà peut arriver du coup à ce qu’un morceau soit composé à 95 % en une journée.

Comment définiriez-vous le style de votre musique ?

Anthony Osche : - Rire-  çà c'est une question assez intéressante, puisqu’on s'est jamais posé  la question en fait... Qu’est-ce qu’on fait comme style de métal çà va être assez compliqué de répondre , dans le sens où n’importe qui pourra trouver son bonheur et son choix musical sur l’album. Y a de l'électro , il y a des passages plus progressifs,  il y aussi des parties plus def Metal. C'est vrai qu’on a pas cherché à se ranger dans une case au moment de la composition ; on a juste cherché à faire ce qui nous plaisait. Ce qui donne au final un album où chacun y a mis sa patte, et ses influences ;  ce qui donne un album assez varié, où tout le monde peut trouver son bonheur.

Racontez-nous l'enregistrement en studio et le choix des titres de "Disorder" ?

Anthony Osche : Alors en fait, Stéphan Forté avait composé 5 des titres ; moi je suis arrivé sur la composition que bien plus tard dans le processus. On est parti de son idée à lui et on a tous commencé à broder dessus avec de nouvelles lignes de chant, de nouveaux passages au piano, nouveaux passages à la guitare…  je dois dire qu’on a tellement apprécié de décider des morceaux que non,  y en avait pas d'autres ; parce qu’on en avait pas besoin en fait. Tout simplement donc, les 7 titres de l'album sont ceux qu’on pensait, chacun amenant une ambiance différente comme on le voulait sur l'album, et voilà globalement.
Le processus d'enregistrement a duré environ 1 an. On a pas mal travaillé à distance chacun dans nos home studio en s'envoyant les pistes ; et également sur-place en se rencontrant avec Jelly Cardarelli, qui est notre mixeur et notre batteur en studio. On a fonctionné un peu comme ca.

Et avec le COVID comment cela s'est il passé?

Anthony Osche : Je dois dire que globalement le covid nous a pas mal servi pour "Disorder". On a eu du temps de libre pour le fignoler, de telle façon qu’on ne l’aurait peut- être pas fait si le covid n'était pas tombé. Maintenant, le côté négatif, c’est qu’il nous a empêché pas mal de présentiel en fait. C’est vrai qu’on a plus travaillé à distance à cause du COVID, mais globalement , il a été plutôt bénéfique à ce projet.

Y a-t-il un artiste ou un groupe avec lequel vous rêvez de jouer ?

Anthony Osche : AH AH AH, personnellement j’aimerais beaucoup jouer avec le groupe Symphonix. Si on doit parler de rêve oui, ca serait avec eux. Dans des choses plus réalisables, nos amis de Dust In Mind notamment, c’est vrai qu'avec Cyrielle on aimerait beaucoup jouer avec eux.

Avec le COVID comment cela se passe pour les concerts ?

Anthony Osche : Oui c’est assez compliqué, parce qu’il y a une légère reprise avec le COVID qui reprend du service... On a prévu des concerts sur 2022,  mais on peut rien affirmer avec tout ce qui se passe. çà se concrétise au niveau du Line-up live, on a un batteur et un bassiste sur lesquels on pourra compter, et qui sont très motivés. mais pas encore de dates arrêtées avec le COVID, car ne permettant pas vraiment de monter une tournée pour le moment.

Pour finir, si vous ne deviez conserver que 3 choses : un disque, un film, et un 3ème choix ? Quelle serait votre sélection et pourquoi ?

Anthony Osche :
Cà serait un livre : un recueil des Nouvelles de Maupassant, parce que c’est  son ambiance qui m'inspire énormément, cette folie, cette âme perdue, ses personnages torturés.  Un disque que je devais garder ca serait "Rising Force" de  Yngwie Malmsteen ; c’est à travers ce disque que j’ai découvert ce que pouvait être le Shred et ce que pouvait être que de jouer avec la guitare poussée dans ses extrêmes limites.
Un film ?  bonne question je dois dire çà serait sans doute "Amadeus" car çà montre bien la folie d’un homme qui reste fragile par ses émotions, et à quel point la musique peut- être une torture intellectuelle pour un humain.


Paris 22 Novembre 2021.
Thierry Cattier

vendredi 17 décembre 2021

IMPERIAL AGE // News // Concert en Ligne 21 Décembre 2021.

 

Imperial Age News/ Concert en ligne le 26 décembre prochain

Le 26 décembre prochain à 19h00, la superpuissance russe de métal symphonique IMPERIAL AGE rassemblera sa vaste base de fans du monde entier pour un spectacle live colossal - présentant les chansons du prochain album "New World", rappelant les anciens succès, et donnant à chacun un avant-goût de ce qui est à venir pour le New World Tour.

    - Toutes les chansons de l'album "New World" + anciens succès
    - Orchestre de chambre et chœur
    - Spectacle de lumières sur scène
    - 7 caméras + grue
    - Nouvelles décorations de scène (fond de scène, coulisses, pyramides, etc.)
    - Nouveaux costumes
    - Live en ligne 100% en temps réel (PAS de pré-enregistrement)
    - Questions et réponses entre les chansons
    - Vos commentaires sur l'écran du moniteur de scène en temps réel
    - Flux vidéo Full HD, son 320 kbps
    - Entrée GRATUITE pour tous (dons bienvenus !)

RENDEZ VOUS ICI


Inspiré par le succès inattendu de "Live on Earth : The Online Lockdown Concert " (qui a été l'un des premiers spectacles de métal en ligne de ce type le 25 avril 2020 et a permis au groupe de réunir 38 000 spectateurs de tous les continents, 11 500 $ de dons et de multiples offres de contrats de disques), IMPERIAL AGE fait cette fois-ci encore plus fort : une + grande salle  (5 fois plus grande que " Live on Earth " ! ) orchestre de chambre & choeurs, 7 cameras filmant en résolution 4K (la qualité maximale du streaming est la FULL HD, mais la 4K ira sur Blu Ray), un formidable Lights show , de nouveaux costumes , un Q&A en direct entre les chansons - et bien sûr tous les titres de leur nouvel album "New World".

Le spectacle ne sera pas préenregistré, comme le font de nombreux groupes de nos jours. LIVE NEW WORLD se déroule en temps réel, comme vous le regardez, sans aucun retard et/ou montage, avec toutes ses petites erreurs (s'ils manquent une note, vous l'entendrez) qui le rendent vivant, brut et non poli - comme un vrai spectacle en direct.
En fait, le groupe va même jusqu'à installer un écran sur le mur derrière la scène où vos commentaires seront affichés en direct - pour un effet live maximal ! Et bien sûr, il y aura un animateur qui dirigera le spectacle et le groupe répondra aux commentaires et aux questions entre les chansons.

Ok... alors combien pensez-vous que soit le ticket pour toute cette énorme performance ?
Eh bien... c'est GRATUIT ! !!
Oui, comme la dernière fois, L'ADMISSION EST GRATUITE, LES DONS SONT BIENVENUS !
Les temps sont durs et le groupe veut que TOUT LE MONDE puisse assister au spectacle et recevoir sa part d'énergie. IMPERIAL AGE espère remonter le moral d'autant de personnes que possible - sur toute la planète Terre.

Cependant, les coûts d'un concert de cette envergure sont énormes (location de la salle, engagement de l'orchestre et de la chorale, répétitions avec eux, engagement de l'équipe de tournage, du son, de la lumière, etc. Si vous êtes en mesure de le faire, n'hésitez pas à faire un don aussi important que vous le souhaitez !

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live Imperial Age


mardi 14 décembre 2021

BALTHAZAR et WHISPERING SONS // Live Report // En concert @ Paris Olympia 7 Novembre 2021.




7 Novembre 2021. Ce soir à Paris, la Belgique est à l'honneur, le groupe Balthazar pour la sortie de leur album SANDS s’arrête pour sa tournée européenne chez nous à l'Olympia. Pour ouvrir le bal c'est le groupe Whispering Sons, un groupe de Post-Punk avec la voix grave de la charismatique chanteuse Fenne Kuppens, au look androgyne, un groupe très influencé par les années Cure Joy Division entres autres. Pour les avoir vus plusieurs fois, ce groupe risque fort de grandir très très vite.




20h30 tapante, c'est l’entrée sur cette mythique scène de l'Olympia de nos 5 petits belges tant attendus par un public d'aficionados, le premier titre "Hourglass" est déjà repris comme un hymne, gros moment d'osmose.

"Grapefruit", morceau du précédent album "Fever" sorti lui en 2019, reçoit un excellent accueil avec cette particularité de Balthazar qui vient de la touche très efficace de l’utilisation du trombone et du synthétiseur, donnant sur certains morceaux une saveur bien à eux. Puis c'est au tour de "Do Not Claim Them Anymore" avec une énergie vraiment très puissante, le public est vraiment sous le charme même si l'Olympia n'affiche pas sold out, le public de fans ou de curieux en prend plein la tronche. Puis quelques titres qui ont jalonné la carrière de ce groupe venu de Courtrai et formé en 2004, un retour aussi sur le 1er album "Applause" sorti en 2010 avec 2 titres "I’ll Stay Here"  "Blood Like Wine", et retour sur ce dernier album Sands avec  "You Won’t Come Around", la prestation de ce soir est vraiment excellente et fait la joie des fans de la première heure mais aussi des nouveaux arrivants dans l'antre de Balthazar.

Puis arrive la monstrueuse partie de Basse pour ce titre qui ouvrait l'album du même nom "Fever", le public ne s'y trompe pas et c'est un triomphe et une ambiance magique au cœur de cette Olympia. Le groupe en profite pour s'absenter de la scène, laissant le public chanter le refrain de "Fever" sur un fond de son electro rythmé par un éclairage rouge, avant de revenir finir la chanson et enchainer avec "Entertainement" du même album, qui ce soir clôturera le concert.
Après quelques salves d'applaudissements nourris, le groupe revient pour deux titres "Bunker" de 2015 extrait de l'album "Thin Walls" et "Losers" du dernier opus, terminant en apothéose un excellent concert où les deux groupes belges nous ont offert un son rock electro typiquement belge, celui que l'on aime tant.





WHISPERING SONS
SetList :

Dead End
Heat
Vision
Tilt
Flood
Surface
Satantango
Surgery

BALTHAZAR
SetList :

Hourglass
Grapefruit
Do Not Claim Them Anymore
Sinking Ship
The Boatman
Moment
On a Roll
I'll Stay Here
You Won't Come Around
Blood Like Wine
Linger On
I Want You
Fever
Entertainment
Encore:
Bunker
Losers

Midnight Riffer
Photos : Th. Cattier / Shooting Idols

 

lundi 13 décembre 2021

HEATHER NOVA // NEWS // Nouveau CD // "Other Shores" Sortie le 26 Aout 2022.

 
HEATHER NOVA "Other Shores" Sortie le 26 août 2022
 

Déjà en précommande

  


Découvrez un nouvel extrait "Don't Stop Believin'"


Le 29 octobre dernier, en lançant le titre "Waiting for A Girl Like You" la chanteuse, originaire des Bermudes, Heather Nova a annoncé la sortie de "Other Shores" un magnifique album uniquement constitué de reprises acoustiques.

Ce disque fait suite à "Pearl " paru en 2019. Si ce dernier était 100% rock et électrique, avec "Other Shores" Heather a clairement décidé d'explorer d'autres rivages.
 
La chanteuse propose donc ses versions de classiques bien connus, ainsi que de quelques titres
que vous n'avez peut-être jamais entendus, mais tous sont interprétés dans une ambiance aussi douce que feutrée.
 
Au sujet de cet album, dont la sortie est prévue pour l'été 2022, Heather Nova  dit : "Je suis d'abord et avant tout une compositrice, mais, au fil du temps, j'ai découvert que j'aimais aussi être une interprète.
Mais, lorsque j'endosse ce rôle pour enregistrer une reprise, c'est aussi pour me débarrasser de la production originale, pour tenter de retrouver l'essence même du morceau.
J'aime le processus qui consiste à entrer dans émotion initiale de la chanson, la ressentir comme mienne, pour finalement réussir à la présenter  sous une nouvelle forme, peut-être plus brute, mais beaucoup plus intime aussi".
 
Et c'est bien cette sensation que l'on peut ressentir en découvrant sa version de "Don't Stop Believin"  
 le méga hit du groupe américain Journey, que la chanteuse vient de mettre en ligne.
 
Et Heather de conclure : "Je suis fascinée par la façon dont les chansons écrites par des hommes
sont très différentes lorsqu'elles sont chantées par une femme..." c'est le moins que l'on puisse dire
lorsque l'on écoute sa caressante version de "Waiting For A Girl Like You"  
la célèbre ballade de Foreigner.
 
Gageons que "Others Shores" nous réserve bien d'autres surprises toutes aussi délicieuses
 

 
En mars prochain, on pourra retrouver HEATHER NOVA
en première partie de la tournée française d'ASAF AVIDAN

 

Mardi 8 mars 2022 - Marseille, Le Dôme
Jeudi 10 mars 2022 - Toulouse, Zénith Métropole
Samedi 12 mars 2022 - Bordeaux, Arkéa Arena
Lundi 14 mars 2022 - Rennes, Le Liberté
Mardi 15 mars 2022 - Nantes, Zénith Métropole
Vendredi 18 mars 2022 - Reims, La Cartonnerie
Samedi 19 mars 2022 - Paris, Zénith La Villette
Lundi 21 mars 2022 - Lille, Zénith Arena
Mardi 22 mars 2022 - Strasbourg, Zénith Europe
Jeudi 24 mars 2022 - Dijon, Zénith



dimanche 12 décembre 2021

FISHING WITH GUNS (Inigo Chanteur et Christophe Guitariste) // Interview // Under The Siver Lake - Septembre 2021.

Le groupe Fishing With Guns  Hardcore N'Roll de Paris sortent un nouvel EP de cinq titres.

Après quelques albums et Ep le groupe affirme sa direction musicale vers des
rythmiques hypnotiques très Stoner et nous offre un EP  "Under The Silver Lake" sorti le 17 septembre dernier.

Nous n'avons donc pas raté l'occasion de coincer deux de ses membres pour leur poser quelques questions afin d'en connaitre un peu plus sur eux et sur leur nouvel EP .

Rendez-vous pris avec
Iñigo Delgado le chanteur et Christophe le guitariste dans un bar Parisien très rock, le Black Dog rue des Lombards à Paris. Place à cette interview, bonne lecture a tous.


Pouvez-vous vous présenter pour commencer ?


Inigo : Je suis le chanteur de Fishing With Guns et j'ai intégré le groupe il y environ 5 ou 6 ans ?

Christophe :
Ça passe tellement vite... mais je dirais ça aussi, quand on s'amuse le temps passe vite... Moi je suis Christophe je suis là depuis le début de Fishing With Guns en 2005 et je suis à la guitare.

Vous sortez aujourd'hui un EP "Under The Siver Lake", votre dernier album date de 2017, pourquoi avoir attendu si longtemps ?

Christophe : Bonne question, en fait on a attendu longtemps parce qu'on a pas mal changé de Line-up depuis 2017, on a notre ancien batteur, Max, qui est parti, du coup il a fallu trouver un nouveau batteur, on a décidé aussi de changer au niveau des guitares, Mickey est venu se joindre à nous a peu près à la même période, du coup on a pas mal changé notre façon de composer

Inigo : Il y a eu le covid aussi qui a fait que l'on a dû trouver d'autres manières de composer et surtout de communiquer à distance. Sur comment on allait faire ce EP, qui normalement était censé être un album... La force des choses a fait qu'en se voyant moins, on a dû se réinventer et se diriger vers un EP, du coup on a pris un peu de temps pour le sortir le bousin.

D'où vient le nom du groupe ?

Inigo ; Christophe, y a que toi qui peut répondre...

Christophe : Alors là c'était une idée de notre premier chanteur Jean, alors d'où ça vient sincèrement je ne m'en souviens plus (rires), je pense qu'il avait chopé ça il trouvait le nom accrocheur et ça matché bien avec ce que l'on faisait à l'époque et ça match toujours bien aujourd'hui, c'est rigolo ça nous ressemble.

Comment créez-vous vos compositions, y a-t-il un déclencheur, un moment propice, ou une idée ?

Inigo : Dernièrement justement c'est avec l'arrivée de Mickey, notre nouveau guitariste, que l'on a changé notre manière de travailler. Avant on était vraiment un groupe qui répétait en live, Christophe arrivait avec une idée de riff, on travaillait autour, on essayait de trouver des nouvelles parties…
Quand Mickey est arrivé, il a changé cette manière de travailler, parce qu'il est aussi ingé son de formation, donc il arrivait avec son morceau qui était déjà structuré, il avait déjà pensé à la batterie, à sa guitare, il arrivait avec un morceau tel qu'il était et on se posait dessus : ça a changé notre façon de travailler, du coup on a pu prendre plus de temps, plus de recul pour écouter les morceaux que l'on faisait et poser tranquillement nos parties, et c'est ce qui a donné "Under the silver Lake".

Christophe : Oui c'est exactement ça, on a changé notre façon de composer, avant on était vraiment sur du live, maintenant on est plus sur de la MAO en fait. On travaille à la maison, beaucoup aussi chez Mickey parce qu'il avait tout le matos et qu'il fallait un équipement de folie.

Inigo :
Du coup il nous a fait nous équiper aussi, après l'idée c'est de garder toujours cette énergie live et j'espère que ça se ressent dans le disque même s'il y a beaucoup de chose faites à distance, la priorité c'est que ça sonne live.

Comment avez-vous évolué depuis le début du groupe ?

Christophe : On a pas mal évolué au niveau du groupe en termes de line up, on était avec un chanteur dont je parlais tout à l'heure, Jean, qui est parti vivre sa vie à Nantes. Donc on a cherché un nouveau chanteur en présence de Monsieur Inigo. Au départ on était à deux gratteux donc, un gratteux qui s'appelait Rémi et qui est parti un peu après ton arrivée, peut-être un rapport de cause à effet.
Du coup, on a pas mal joué à quatre sur le dernier EP, avec une seule guitare, moi, Inigo, Max à la batterie et Guillaume BOUIF à la basse, Mickey nous a rejoint juste avant le départ de Mawet, puis il y a un an, Fred, notre batteur nous a rejoint, et là on est vraiment au complet. Et on a un beau petit Line-Up.

Et toi Inigo, avant d'intégrer le groupe tu étais dans un autre groupe ?

Inigo : Oui j'avais un groupe de rock prog, une direction qui était très mélodique dans mon approche du chant, je réfléchissais énormément sur comment s'articulaient les lignes de chant et les doubles voix. Arrivé dans Fishing with Guns, ça a été un peu un défi pour moi j'ai dû apprendre le chant beuglé, je n'avais pas l'habitude de sortir de ma zone de confort.

Comment définiriez-vous le style de votre musique ?

Christophe : on va dire Hard core and roll

Inigo : Ah oui on reste là-dessus quoi



Racontez-nous l'enregistrement de "Under The Silver Lake" ? Comment se passe une session en studio ?

Christophe : En arrivant, on était très très préparés parce qu'on avait bossé nos instruments un maximum à la maison, via l'ordinateur et toutes les méthodes que nous avait donné Mikael. Après, on est arrivés avec un produit quasi fini, donc ça c'était hyper confortable et on est arrivé au studio Sainte Marthe avec Francis Caste, on lui a présenté les titres du EP, il a pu l'écouter et il avait déjà des idées de mix etc. et après ça a déroulé.

Inigo : C'est intéressant de travailler avec un gars comme Francis parce que c'est quelqu'un qui connait la musique, qui connait le rock et qui sait le faire sonner. Nous notre Ep il était déjà fait dans notre tète mais il nous a beaucoup apporté d'arrangements, de production, des fois même en chant. Des fois, je posais ma ligne de chant et il me disait "ooooh t'es sûr que tu veux aller dans cette direction là..." le côté un peu challengeant… C'est Francis. On a bien rigolé, après c'était un peu épuisant parce qu'il nous fallait beaucoup de ressource physique, c'est un exercice.

Christophe : C'est toujours fatiguant le studio, on a quand même une grosse dose de stress parce qu'on doit rentrer tout dans un temps imparti. Mais la dessus, Francis a toujours été bienveillant et franchement ça s'est super bien passé.

Combien de temps cela vous a pris en tout ?

Christophe :
Je dirais une petite dizaine de jours ?

Inigo : Un peu plus je crois, 4 jours pour la batterie, en gros 2-3 semaines

Christophe : Il y a un truc dont on n'a pas parlé, c'est au niveau enregistrement, du coup on n'avait pas notre batteur, donc on a fait appel à Morgan Berthet, c'est un putain de batteur de la scène métal actuelle

Inigo : C'est le batteur de Kadinja

Christophe : Et donc franchement, je pense que ça a aussi apporté un plus aux niveaux des prises batterie, enfin il a tout enregistré, le monstre quoi... Il a aussi apporté une touche de puissance à notre EP. Et le pote de Mickey a fait toutes les prises de basse.

Inigo : Oui, parce qu'en fait on a enchainé les galères ... Notre bassiste s'est coincé les doigts dans une portière, du coup il n'a pas pu enregistrer ses parties de basse.

Christophe : C'est un super pote de Mickey qui a fait toutes les prises de basse chez lui, c'est un ingé son très bien équipé en termes de matos… Bref, on est arrivés chez Francis avec tout sur clé USB.

Inigo : Ça nous a permis de prendre un peu plus de temps aussi pour les arrangements, et aussi faire un gros gros travail sur les voix pour que ça sonne comme on voulait.

Christophe :
Sur le mix global du EP, pour qu'on puisse avoir ce qu'on voulait…

Comment cela va se passer maintenant avec les musiciens qui devaient enregistrer et qui ont été remplacés sur le EP ?


Christophe :On a un bassiste qui est très très cool, il avait conscience qu'il ne pouvait pas faire les prises de basse, donc il a vu ça plutôt comme un gros plus que Martin, le pote de Mickey, puisse réaliser ses prises et il était présent au studio pendant l'enregistrement

Inigo : Pareil pour la batterie, à la base, même si elle sont jouées par Morgan, toute la structure et toutes les lignes de batterie était déjà écrites par Mickey.

Christophe :
On fait tourner depuis en répète et ça le fait bien. 

Quelles sont vos premières influences musicales ?

Christophe :Moi c'est Metallica, Pantera, Sepultura

Inigo :
Moi je vais dire Megadeth pour te faire chier ! Après dernièrement j'étais plus sur des trucs très mélodiques, et dernièrement en jouant avec Fishing, là j'écoute plus du gros bourrin et des sons hardcore énergie.

Quels sont les groupes que vous écoutez aujourd’hui et quels sont vos goûts musicaux ?

Christophe :
Beaucoup la nouvelle scène Hardcore
Inigo : Moi aussi, mais aussi beaucoup de comptines pour enfant, c'est peut-être aussi parce que j'ai une fille d'un an…

Comment avez-vous vécu cette année de confinement ?

Christophe : Globalement pas trop mal, enfin je parle pour ma part

Inigo : C'était étrange, mais moi c'était avec une femme enceinte et après un bébé en bas âge, donc ça m'a permis de passer du temps en famille en fait.

Y a-t-il un artiste ou un groupe avec lequel vous auriez rêvé de jouer ?

Christophe :
Oh là, y en a beaucoup si on doit en donner un toi ça serait quoi… J'avoue une scène avec Every time I Die.

Inigo :
Oui j'avoue j'ai une demie molle (Rires)

Christophe : Oui ça serait très très cool

Pour finir, si vous ne deviez conserver que 3 choses : un disque, un film, et un 3ème choix ? Quelle serait votre sélection et pourquoi ?

Christophe : Une guitare, parce que je suis guitariste lol. Un mediator et puis une couverture pour pas mourir de froid la nuit (rire)

Inigo :
Moi je prends une petite dynamo et je pédale pour la charger et donc une télévision avec un abonnement Netflix au moins que je puisse regarder quelques chose, jai pas besoin de guitare, moi je chante non mais !



Paris 14 Septembre 2021
Thierry Cattier
Photos : Th. Cattier /
Shooting Idols