dimanche 28 novembre 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 28 Aout 2021 - Orchestral Manoeuvre In The Dark (OMD) Rusty Egan (Visage) D:uel (Propaganda) Kosheen Goudi Queen Symphonic ...


Le W-Festival eu lieu le Samedi 28 Aout 2021. A Ostende sur la magnifique plage de Kleine Strand, c'est un des seuls et un des premiers à s'afficher sans masque ni distanciation, avec un contrôle du pass sanitaire à l’entrée.

Goudi

Kosheen

 


Kissing The Pink


Meuris & CO


D:uel  (Propaganda)






Queen Symphonic




Rusty Egan Presents Visage 1980- 2021


 





Orchestral Manoeuvres In the Dark, O.M.D




vendredi 26 novembre 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 26 Aout 2021 - Nena, The Orchestra, East 17, Marc Almond, Roachford, Katerina ...

 
Le W-Festival eu lieu le Jeudi 26 Aout 2021. A Ostende sur la magnifique plage de Kleine Strand, c'est un des seuls et un des premiers à s'afficher sans masque ni distanciation, avec un contrôle du pass sanitaire à l’entrée. 

 

East 17


Toploader

 


Katrina (ex Katrina & the Waves)

 


Daan

 Marc Almond



Roachford

 


Gipsy Kings (by Diego Baliardo)


The Orchestra (ex Electric Light Orchestra)


Nena


  

Pour voir l’intégralité des concerts du W-Festival 2021

SINNER'S DAY // Photo Report // Ostende 25 Aout 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 26 Aout 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 27 Aout 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 28 Aout 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 29 Aout 2021


Prochain W-Festival du 24 au 28 Aout 2022.

Renseignements IcI

Photos : Th. Cattier / Shooting Idols 


BEAST IN BLACK // Interview // La Cyber Attitude Septembre 2021

 

BEAST IN BLACK est un combo Européen regroupant des musiciens Finlandais Hongrois et Grec qui dis mieux ! Formé à l’initiative de Anton Kabanen après son départ de BATTLE BEAST. En 2017 le gang sort un premier album Berserker hommage au manga Japonais de Dark Fantasy Berserk de Kentaro Miura et s’embarque en tournée au côté de WASP pour quelques dates seulement suite aux frasques de Blackie Lawless.
Ils repartent ensuite sur les routes au côté de NIGHTWISH en novembre et décembre 2018 ce qui leur permettra de jouer à Paris à l'AccorHotels Arena ! En 2019 ils reviennent sur le devant de la scène avec un second méfait From Hell With Love qui leur permettra de sévir sur les terres Européennes en tête d’affiche avec comme première partie MYRATH. Fidèle défenseur d’Heavy Metal typique gorgé de refrains catchy voir Pop par moment qui magnifient le tout, le gang est de retour cette fois ci avec Dark Connection son troisième opus une fois de plus inspiré par les mangas cette fois ci développant un univers Cyberpunk très futuriste comme que Armitage III ou bien Gunmm mais aussi par le monde cinématographique grâce des films cultes comme Blade Runner de Ridley Scott.
Une fois de plus Anton Kabanen nous propose un Heavy Power Metal bercé par des ambiances pop, dance, voir par moment symphoniques, gorgé de claviers aux sonorités typiquement eighties le tout agrémenté de refrains imparables qui vous scotche définitivement le bulbe rachidien. Une belle réussite doté d’une production haut de gamme qui brille par son incroyable efficacité ! Du grand art à n’en pas douter. Cerise sur le gâteaux deux très belles reprises "Battle Hymn" de MANOWAR et plus surprenant "They Don't Care About Us" ( HIStory: Past, Present and Future) un morceau du roi de la Pop Michael Jackson dans une version très réussi empreint de classe et de respect !
C’est avec le prolifique et sympathique Anton Kabanen la maître incontesté de la bête en noir que nous avons pu nous entretenir afin d’en savoir un peu plus sur ce monde Steampunk rétro futuriste ! Magnéto Anton c’est à toi !



Vous avez eu la chance d’effectuer une longue tournée Européenne en tête d’affiche du 29 Octobre au 18 Novembre 2019 avec en Special Guest MYRATH quel regards portes tu sur cette tournée ?

Anton Kabanen. C’était notre seconde tournée en tête d’affiche. Je m’en souviens c’était une tournée sympathique et réussie. Après avoir fait cela pendant dix ans c’est bien de voir que les choses planifiées se passent comme prévues et qu’il y a aussi de belles surprises. On n’a pas à se plaindre sur ce point. Nous avons hâte de retourner sur les routes prochainement mais nous avons aussi un planning à respecter.

Qu’essayes-tu de transmettre au public lorsque tu es sur scène ?

Anton Kabanen. Pour nos perspectives ce qui est le plus important c’est que les gens viennent voir nos shows, et rien d’autre. Je me focalise sur ce point. C’est une échappatoire d’une heure et demie. Tu dois continuer de vivre. Appréciez la musique et le spectacle. Qu’est-ce que l’on peut demander de plus ? C’est pour cette raison que nous sommes là. Pour donner de belles émotions.

Que représentes pour toi un bon concert ?

Anton Kabanen. Quand le son et le groupe ne font qu’un. Lorsqu’il y a une bonne atmosphère. Parfois tu es très fatigué ou malade, ce qui affecte ton humeur. Quand tu es en bonne santé tu sais à quoi ressemble un bon son. Ce sont des choses classiques et basiques, qui font que tout se passent bien. C’est ce qui fait un bon show pour nous.

Il y a beaucoup d’harmonies de guitares est ce important pour toi de retranscrire au plus près de leur version albums les morceaux lorsque tu es sur scène ?

Anton Kabanen. Absolument, mais ce n’est jamais facile. Il n’y a pas de mon point de vue de concerts parfaits d’un point de vue prospectif. Ce n’est pas le sujet, nous ne sommes pas là pour jouer un spectacle sans erreurs. En tant que groupe, tu joues tous les soirs des choses différentes qui permettent de rafraichir le show et d’apporter des éléments nouveaux et de l’excitation. C’est une forme de tension qui doit être exécutée de la bonne manière. Nous savons ce qui va se passer à quatre-vingt-dix pourcents. Il y a toujours cette partie obscure que tu ne connais pas. C’est comme cela qu’on fonctionne.

En décembre 2019, vous avez reçu un disque d’or à Helsinki un disque d’or j’imagine que cela été un moment important pour toi et la formation ?

Anton Kabanen. Oui nous étions très contents et nous ne nous y attendions pas. Cela a été une énorme surprise, disque d’or pour le premier album. C’était le premier disque d’or de notre carrière. Aucun des membres du groupe n’avait jamais reçu une telle récompense. C’était très sympa, cela veut dire aussi qu’il y a un but. Les gens aiment la musique, le groupe, les concerts que nous aimons faire et donner. C’est comme un point d’ancrage dans le temps. Nos plus grands shows se sont déroulés fin d’année 2019 et ce sont de loin les meilleurs. Ce sont de très bons souvenirs de notre carrière.

N’as-tu pas l’impression que tout est allé très vite pour BEAST IN BLACK concerts en en tête d’affiche, trois albums, un disque d’or !

Anton Kabanen. Effectivement d’un certain coté cela fut rapide, d’un autre coté on a toujours été dans des formations pour faire de la musique. Ce n’est pas comme si c’était notre premier groupe. C’est pour cette raison que des grandes tournées et des albums ont été enregistrés. Pour chaque membre du combo on se demande pourquoi s’est arrivé si vite dans notre univers musical. D’abord c’est une récompense émotionnelle car le public a accepté notre musique. Les premiers fans sont les fans de notre premier opus, ce sont eux qui nous donnent des vues, des likes sur YouTube, sur toutes les plateformes partout dans le monde. Tout va ensemble. Et cela fait quelque chose auxquelles nous ne nous attendions pas. Merci à tous les fans ! Et nous espérons que cela n’est que le début. Nous avons encore de l’appétit pour réaliser encore beaucoup plus de belles choses.

Vous êtes de retour sur le devant de la scène après cette pandémie quel est ton état d’esprit au vu de ce qu’a vécu l’humanité ?

Anton Kabanen. Il y a une certaine nervosité qui existe lorsque que tu reviens après un long break, mais aussi de l’excitation quand tu recommences à jouer après si longtemps. Il y a certaines chansons que tu adaptes avec l’humeur et tes sentiments du moment. Il y a quelques années quand on était actif en tournée ce n’était pas si différent. A mon niveau tu t’adaptes rapidement pour les morceaux de la setlist. Ces titres qui par la suite ne te paraissent pas étrangers après un long break. La question est de savoir comment tirer profit de ces titres pas seulement musicalement mais aussi techniquement. Je me rappelle certaines chorégraphies et le feeling entre le public et le combo de ce fait il serait difficile de se prélasser sur scène. Heureusement ce n’était absolument pas le cas et ce fut très excitant.

Une bonne partie des musiciens pour pallier le manque de concerts ont donné des shows virtuels, ce n’est pas le cas de BEAST IN BLACK vous ne semblez pas attiré par ce genre d’exercice !?

Anton Kabanen. Nous ne sommes pas fans de shows virtuels. S’il n’y a aucune possibilité de jouer en live nous ne voulons pas perdre notre temps et nous préférons concentrer nos efforts sur du contenu artistique ou de nouvelles chansons brillantes, des vidéos pour la musique ou des paroles pour les prochains albums. Fondamentalement quand on ne peut pas faire de concert live, on essaie d’être créatif dans le contenu sur quoi construire avec le groupe. Il y a toujours quelque chose d’artistique à construire dans ce contexte. C’est pour cela qu’on ne se focalise pas sur les shows virtuels. Bien sûr tu peux en faire pour ajouter des tas d’éléments que tu ne pourrais pas faire sur un concert normal. Dans ce genre de d’évènements il y a un manque d’audience. Il manque quelque chose et c’est bizarre. Pour moi les prestations virtuels bien produits ou les livestream dans les stades, ça ressemble à des vidéos qui ont été faites avec une seule prise. Je préfère regarder des clips de musique éditées et parfaites dans les détails. C’est une sorte de compromis entre le fait de faire des vrais concerts et des shows virtuels. Nous ne sommes pas friands de ces live virtuels. Aucun de nous dans le groupe ne l’est. C’est bien car on ne se bat pas pour ça. On veut donner des shows avec du public, pas être sur scène sans public.



« Dark Connection » est votre troisième opus, comment cette fois ci avez-vous envisagé le processus de composition alors que nous étions en pleine pandémie ?

Anton Kabanen. Nous avons travaillé de la même manière que pour les deux albums précédents. L’enregistrement, la production et la masterisation a pris plus de temps que d’habitude. Je ne vais pas me blâmer pour ça parce qu’on trouvait qu’on ne laissait pas aller quand je travaillais sur différentes chansons en studio. Il fallait se décider sur ce qui était bon ou pas, sur la section des instruments. Alors j’ai fait marche arrière pour trouver d’autres alternatives dans le paysage sonore de BEAST IN BLACK pour toute la partie mixage et le reste. Quant au Covid, nous avions pris notre temps. Mais il y a eu aussi beaucoup plus de difficultés. J’ai fait quelques mises à jour sur les systèmes d’exploitation au studio, beaucoup de nouvelles entrées à connecter avec les instruments. Il était temps de mettre à jour ces choses-là. Avant que je puisse commencer à faire quelque chose je devais d’abord mettre le système à jour. Une fois que j’ai eu le son désiré pour l’opus, j’ai réalisé que je voulais avoir d’autres outils pour faire avancer le processus. Ensuite il y a eu des problèmes techniques concernant les ordinateurs. Donc nous avons eu de véritables soucis pour l'enregistrement ce qui fait que cela nous a pris beaucoup trop de temps pour mettre en boite cet opus. Mais je devais le faire, il n’y avait pas d’autres issues. S’il n’y avait pas eu le Covid, nous n’aurions pas enregistré quoi que ce soit. Nous aurions donné des concerts et nous aurions sortis l’opus en 2023.

Tu es à la fois guitariste, claviériste, producteur, tu as aussi mixé l’album est ce que ce n’est pas un gros challenge de cumuler toutes ces taches ?

Anton Kabanen. Non pour moi cela ne représente pas un défi, je fais cela depuis bien longtemps. Honnêtement enregistrer un album ce n’est pas quelque chose qui m’amuse. Le plus agréable est de composer. Enregistrer, produire et mixer c’est quelque chose que je dois faire afin de donner vie aux morceaux. Mais heureusement il y a beaucoup de petits moments que j’apprécie comme lorsque nous enregistrons tous ensemble, les prises de guitares, celles de chant ainsi que mes parties. Ce sont ces moments que nous aimons tous, nous créons les chansons et c’est une bonne chose. Mais a la fin tu dois tout assembler et cela me rend dingue ! Rires.

Tu as déclaré que pour Dark Connection le rôle des claviers et des synthétiseurs avait joué un rôle majeur !?

Anton Kabanen. J’ai toujours dit que ce qu’une chanson demande nous nous devons de lui donner. Cela ne dépend pas d’une vue subjective, tous les musiciens apportent leur pierre à l’édifice et ensuite nous voyons ce dont le titre à besoin, tel type de clavier ou tel instrument. Ça se fait de manière très basique et simplement, tu dois écouter le morceau et trouver ce qu’il lui faut pour être complet. Bien sûr j’adore les claviers et le son des synthé des années 80. Mais tu dois croire en tes envies subjectives sur un titre, tu entends ça dans ta tête, c’est ainsi que se déroule le processus d’écriture pour moi. J’entends les mélodies d’un morceau et je dois les retranscrire pour qu’elles prennent vie c’est aussi pourquoi il y a beaucoup de claviers. Mais à chaque fois je me pose la question : ‘Qu’est-ce que je dois apporter pour que cette chanson soit bonne’ ? Pour moi un bon titre est ce type de morceau ou tu as de la guitare, du piano, des riffs, des chorus, des équations simples pour mettre en place des mélodies. Ce sont des très belles mélodies et quelque chose résonne avec tout ça et tu sais alors que c’est un bon morceau. A la fin c’est la vue subjective des compositions qui s’impose, ‘est essentielle pour ce que demande une chanson.

BEAST IN BLACK est très inspiré par les eighties, recherches tu ce feeling qui existait dans les morceaux des années 80 dans tes compositions ?

Anton Kabanen. Oui tout simplement parce que ce type de musique résonne en moi et pourquoi cela résonne en moi ? Pour un musicien tu dois te pose cette question, quel type de riffs, quel rythme joue le batteur, quelles précautions ont t’ils pris et surtout quels types de mélodies chante les chanteurs ainsi que celle joué par un instrument Et lorsque tu analyses tout ça tu réalises pourquoi tu aimes cette musique ! C’est arrivé dans les années 80/90, ils avaient un sens énorme de la mélodie et la compréhension pour savoir comment les crées. Ils y arrivaient d’une manière simple au niveau de la progression des accords de guitares, la chanson doit engendrer cela, elle t’attrape de gauche à droite et j’aime ça, le morceau résonne en moi. C’est une musique que j’apprécie depuis mon enfance, je regardais un dessin animé Les Maîtres de l'Univers (He-Man and the Masters of the Universe) et j’adorais la bande son , la musique m’a ébloui. J’appréciais aussi tous les films des années 80/90 et toutes ces choses se sont ancré en moi. Plus tard lorsque j’ai commencé à jouer de la guitare, j’ai compris ce qui passait à travers ces morceaux, j’ai ressenti ces influences, ces progressions de cordes, ces types de rythmes, ces sons, ce sens de la mélodie, je ne sais pas c’est un procédé très intuitif chez moi. Dans BEAST IN BLACK nous ne nous disons pas que nous allons jouer dans un style années 80, cela n’a jamais été le cas. L’idée est simple, faisons de la musique, je veux composer et écrire quelque chose qui soit bon musicalement mais je n’essaye pas de sonner délibérément dans un style particulier. Ensuite lorsque le morceau est prêt, je peux alors le catégoriser, je peux dire ce titre a été influencé par du disco, des éléments symphoniques ou bien du Heavy Metal.

Vous venez de sortir votre premier extrait de l’album 'Moonlight Rendez-vous ‘pourquoi avoir choisi de mettre en avant ce morceau ?

Anton Kabanen. Pour nous c’était assez clair lorsque nous avons sélectionné ce titre tout simplement par qu’il devait avoir une orientation assez Pop. Dès 2018 nous savions que cet opus serait orienté plus Pop. Le texte est très fort et inspiré elle se rapproche le plus du concept et sont intéressantes si on s’intéresse au sujet. Il y a cette ambiance Pop avec cette longue intro d’une minute avant que le chant arrive qui est très inhabituel pour un premier single. Sur d’autres chansons il y a différent types d’intro instrumentales qui ne pouvait pas être sélectionné pour un single. Tu as une chose clair qui apparait avant que la voix arrive, ce n’est pas une atmosphère qui se dégage comme sur d’autres titres en intro. C’est une mélodie sombre, très forte qui se développe ensuite arrive le riff principal de guitares. C’est un rappel pour celui qui écoute, tu as apprécié cette intro, ensuite tu entends ce riff Heavy et puis la voix arrive. Tout cela amène l’auditeur dans la chanson avec ce tempo assez lent qui est en rapport avec le monde de Blade Runner qui a énormément influencé ce titre et qui a un rôle essentiel au niveau du concept. Pour nous il était évident que si il y avait une chanson pour décrire l’ambiance de cet album c’était bien celle-là. C’est un morceau assez long mais nous ne voulons pas ennuyer les personnes qui l’écoute, ils devraient l’apprécié. Ensuite on verra ce qui arrive dans un deux ou cinq ans. On a fait un test sur le temps, on saura dans cinq ans si nous avons fait le bon choix mais nous ressentons cela comme ça ensuite nous verrons bien sur la longueur. Un artiste doit faire ce qu’il ressent et ce qu’il pense être bien, l’émotion n’a rien à voir avec les statistiques. On ne peut pas se dire ok d’habitude ce type de morceau est parfait pour être un single. On n’a pas toujours ce type d’analyse. Bien sûr tu as des bons titres qui peuvent faire l’affaire mais c’est mieux de choisir quelque chose de frais que un single typique, c’est pourquoi nous avons choisi l’album 'Moonlight Rendez-vous'.

Pour soutenir ce single vous avez sorti un clip très futuriste bien dans l’esprit du concept ! ?

Anton Kabanen. Cela a été une très bonne expérience. L’écriture de l’histoire a été par elle-même très amusante, cela a été un vrai plaisirs. Mais la captation a été longue, très complexe avec beaucoup d’éléments à mettre en place. Heureusement nous avons trouvé la bonne personne pour gérer cette captation, Katri Ilona Koppanen en a été le directeur artistique il s’est aussi chargé de l’écriture du script. Il était passionné par le thème, cela lui a pris beaucoup de temps, six mois de sa vie. Il ‘est totalement investi et nous sommes très satisfait du résultat, on ne pouvait pas demander plus.

A l’écoute d’un titre comme « Highway To Mars » j’ai immédiatement pensé à SURVIVOR et « Eyes Of Tigers » notamment au niveau du break avez-vous voulu en quelque sorte rendre hommage à SURVIVORS ?

Anton Kabanen. Comme je l’ai dit de nombreuses fois dans d’autres interviews c’est une question de ressenti et de point de vue. En tant que compositeur je donne au morceau ce dont il a besoin, quel type de riffs faut -il, quel partie musicale convient. Je le ressent ainsi, j’ai entendu ce riff, ce que j’ai écrit au niveau de l’instrumentation, que ce soit au niveau des claviers, la partie qui fait qu’on pense à « Eyes Of Tiger », ce même feeling c’est juste quelque chose qui es venu par intuition. Lorsque j’écris une chanson cela vient naturellement et ensuite je réalise que cela ressemble à une sensation familière qui peut apparaitre comme une copie, ça peut être un test et on peut se dire alors il faut écrire quelque chose d’autres mais j’ai toujours dis que cela venait de l’inconscient, rien n’a été recyclé ou copié. Tout ce qui a été composé est influencé par ta vie et ton vécu, il y a de bonne choses que tu apprécies dans la musique et qui reste inscrite dans ton subconscient, tu les gardes pour longtemps, c’est dans ton cœur, je ne peux pas m’interdire d’utiliser une mélodie parce que c’est trop proche de ce qui a déjà été fait auparavant. Si c’est quelque chose de différent c’est bien, ça sonne bien et ça continue à mettre en valeur tes propres influences, couches après couches, tout ce que tu absorbes musicalement tu peux les utiliser, elles sont en toi, tu dois t’en servir, ça se ressent quand tu apprécies quelque choses ou que tu n’aimes pas.


9 Septembre 2021.
Pascal Beaumont   / Laurent Machabanski (Traduction)
Photos Thierry CATTIER / Shooting Idols


jeudi 25 novembre 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 27 Aout 2021 - Human League, Paul Young, Midge Ure, Matt Bianco, Ronan Keatin, Blow Monkeys ...

 

Le W-Festival eu lieu le Vendredi 27 Aout 2021. A Ostende sur la magnifique plage de Kleine Strand, c'est un des seuls et un des premiers à s'afficher sans masque ni distanciation, avec un contrôle du pass sanitaire à l’entrée. 

 

THE BLOW MONKEYS


MAT BIANCO



MILLIONAIRE


BUSCEMI vs/¨PRAGA KAHN

 


RONAN KEATING


MIDGE URE

 

NOVASTAR

 


PAUL YOUNG

 

HUMAN LEAGUE

 

 

Pour voir l’intégralité des concerts du W-Festival 2021

SINNER'S DAY // Photo Report // Ostende 25 Aout 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 26 Aout 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 27 Aout 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 28 Aout 2021

W-FESTIVAL // Photo Report // Ostende 29 Aout 2021

 

Prochain W-Festival du 24 au 28 Aout 2022.

Renseignements IcI

Photos : Th. Cattier / Shooting Idols

 

mercredi 24 novembre 2021

DEATH DECLINE (Alex Chanteur et Fab Guitariste)// Interview // De Dijon... Novembre 2021.

 



Vous sortez aujourd'hui votre 3ème album "The Silent Path" pouvez-vous nous en dire un peu plus sur chacun d'entre vous ?

Alex : Je suis Alex, le chanteur de Death Decline de Dijon.

Fab : Moi c’est Fab, de Death Decline,... de Dijon... (rires).

D'où vient le nom du groupe et quelle est sa signification ?

Alex : Comme on a coutume de le dire, le groupe a été fondé en 2008 par Manu et aujourd'hui il ne reste plus personne du groupe d'origine. Donc on n’a pas la moindre idée de ce que veut dire le nom "Death Decline" mais je pense qu’il n’a pas d’autre but que de sonner Metal.

Fab : Des conversations que j’avais pu avoir avec les anciens membres, c’était juste que la prononciation sonne, ça a un impact, c'est classique et efficace.

Comment créez-vous vos compositions, y a-t-il un déclencheur, un moment propice ?


Alex : Avec le confinement ca a pas mal aidé parce que le déclencheur c’est qu’on c’est tous retrouvés à se faire chier à la maison. D’une manière générale, il y a Fab et Mario, le deuxième guitariste, qui amènent des idées de compo. Et le fait qu’on joue ensemble depuis quelques années déjà, on sait vers quelle direction on veut aller, donc on brode autour et ça nous permet petit à petit de construire nos albums comme ça. On garde toujours en fil rouge la composition  mais on n’est pas du genre à faire la tournée et attaquer les compos juste avant de rentrer en studio. On en fait toujours pendant qu’on tourne et quand on voit qu’on s’approche de la date du studio on met les bouchées doubles.

Fab :  Rien à rajouter je n’aurais pas dit mieux (rires).

Racontez-nous l'enregistrement de "The Silent Path"


Alex : Ça c'est pas mal passé du tout. Faut savoir un truc, on n’est pas des requins de studios, on est avant tout des musiciens live, on s’éclate sur scène. Avec le confinement qui nous a  permis de tous bosser chacun de notre côté à la maison, du coup on s’est un peu plus appliqués à faire de la pré-prod. Donc quand on est arrivés en studio on avait déjà enregistré pas mal de fois les morceaux, on avait déjà peaufiné pas de trucs, on était peut-être un peu plus confiants. La prise en charge au  studio Art Music avec Sebastien Camhi a été vraiment très très chouette, déjà le cadre, t’es privilégié, t’es dans la pampa au milieu des vignes, on était sur une fin octobre plutôt douce avec un soleil très agréable. Vu qu’on sait que c’est des passages très difficiles pour nous, on essaye de réunir toutes les conditions pour que ça se passe bien. Ça a été une bonne expérience je trouve.

Fab : Oui ça s’est super bien passé, on a été dans des conditions idéales pour faire notre album au mieux. Et beaucoup mieux préparés, ce qui n’était pas forcément le cas avant. On a abordé les choses d’une façon différente et je pense qu’on va essayer de garder cette façon de travailler pour les prochains albums.

Avez-vous ressenti une évolution sur votre manière de travailler en studio depuis votre 1er album en 2015 ?

Alex : En 2018 pour la sortie de notre 1er album " The Thousand Faces of Lies ", on est arrivés à l'arrache, on avait pris qu'une semaine de studio, du coup on s'est aperçus qu’il manquait des bouts de batterie et on a dû y retourner, au niveau timing c’était vraiment trop court. Du coup on s’est un peu mangé dans la tronche ce qu’on n’avait pas bien préparé. Et aujourd’hui on peut dire que ça a changé et qu’on commence peut-être à tenir le bon bout.

Fab : Oui carrément, je pense qu’avec ce nouvel album on a vraiment progressé grave. Même si c’est vrai, ce n’est pas l’exercice qu’on préfère.

Alex : On n’a pas le choix, on ne peut pas y couper donc autant s’y préparer au mieux.

Fab : Je pense qu’on a vraiment franchi un cap et je pense qu’avec le 4ème album ça sera encore mieux. On y a été plus sereins et c’est important car c'est un exercice de mon avis personnel plus stressant que la scène. On a plus d’expérience de scène qu’on a d’expérience de studio.

Alex : Après, quand tu rentres en studio, ça te fait voir également la musique avec un niveau beaucoup plus professionnel. Déjà t’arrives, là action, à 9h faut bosser jusqu’à 18h, vraiment histoire de rentabiliser ta journée, et ça nous change un peu même si on reste des joyeux branleurs. On prend vraiment beaucoup de plaisir en essayant de faire ça le mieux possible et là les conditions étaient vraiment faites pour que tout se passe bien. On avait réservé 15 jours et on a fini les dernières prises de chant juste avant que notre cher président ne nous confine.

Racontez-vous comment votre titre "Useless Sacrifice" a été utilisé dans South Park ?

Alex : Ben en fait c'est un énorme coup de chance, comme à peu près tout ce qui doit t’arriver de bien dans la musique. En gros, d’une manière totalement indépendante de notre volonté, on a cassé l’algorithme de YouTube. Alors je pense que c’est parce que beaucoup de gens ont dit que le morceau était pourri, au niveau du référencement y a eu un max de commentaires... En fait depuis quelque temps, si tu tapes Death Metal sur YouTube tu tombes sur nous en premier. Ce qui est paradoxal car je ne pense pas qu’on puisse être affilié à un groupe de Death, mais toujours est-il que South Park a du taper et tomber sur nous tout bêtement.

Fab : Je pense qu’on avait un partenariat avec une chaine YouTube américaine, grâce à eux on a eu la vitrine dont on avait besoin, et je pense que sait ça qui a fait le buzz.
Alex : On a eu un sacré coup de chance.

Depuis cette exposition mondiale, y a-t-il une différence dans l'accueil qui vous est fait par les médias et l'industrie musicale en général ?

Alex : On n’a pas de ressenti direct, peut-être un peu au niveau du booking, les gens voient à peu près qui on est sans qu’il y ait plus de notoriété ou de reconnaissance. Ça nous a vraiment impactés sur des supports comme Spotify, on est à 20.000 écoutes par mois, ce qui est énorme pour un petit groupe comme nous. Sinon, ça avait eu un gros impact au niveau des réseaux sociaux, mais avec notre poisse, on s’est fait pirater notre page Facebook il y a un an a peu près, on approchait les 6000 abonnés et on a dû repartir à zéro. Malgré nos nombreuses demandes au niveau des admin y a pas eu moyen de récupérer la page donc on reste pragmatique, c’est chiant car c'est un outil de com important de nos jours, mais bon, heureusement ce n’est pas ce qui nous empêche de faire notre musique, ça ne nous a pas tant pénalisé que ça.

Fab :  ffectivement ce qui est dur c’est que maintenant tout passe par ces réseaux sociaux, c’est la seule vraie grosse vitrine que l’on peut avoir, mais grâce à YouTube ça a pu continuer.
Alex : Pour la sortie du clip en juin dernier du nouvel album, au moment de la sortie on devait être à 1600 followers sur Facebook et tu te demandes comme cela se serait passé avec l’ancien ou on avait déjà atteint les 6000. Après faut pas ruminer, c’est contreproductif et c’est pas trop notre esprit. Tant qu’on peut faire de la musique, le reste on s'adapte. Faut être réactif, on a fait ce qui était possible mais après on arrive à un moment ou faut avancer, donc on avance…

Comment définiriez-vous le style de votre musique ?

Fab : C'est du Metal, faut avoir une étiquette alors voilà. Sachant que nous on ne pense vraiment pas en terme de style particulièrement Metal ou autre, bien sûr on a nos influences, tout ce qui fait notre son mais si le riff est bon, que ce soit Death Metal, Trash Metal, l’essentiel et que ça nous parle, on va s'éclater et voilà.

Alex :à partir du moment où on sait la couleur qu’on veut donner à notre musique, c'est le plus important. On avait essayé de tirer un peu sur le deuxième album le côté Death, mais après clairement on s’est aperçus que ça nous ressemblait pas. On reste quand même satisfait de cet album mais aujourd’hui on est plus revenus sur une formule qui va plus se rapprocher du premier, avec quelque chose de plus équilibré. Encore une fois, on cite toujours les mêmes groupes, on va plus être sur des sons à la Machine Head ou Trivium, ce qui nous réunit tous et qui nous permet de nous exprimer sans mettre de barrière.

Quelles sont vos premières influences musicales à chacun ?

Fab : Moi c’est clairement Metallica qui m’a vraiment donné la flamme, même si ce n’est pas le 1er groupe que j’ai découvert, j’étais déjà fan de Iron Maiden, Black Sabbath, avec les vieux vinyles de mon père que j’écoutais déjà très jeune. Et quand j’ai découvert Metallica ca a vraiment pris une autre dimension. Après j’ai enchainé avec toute la scène américaine trash metal qui m’a vraiment influencé.

Alex : Je n’ai pas la chance d’être aussi vieux que lui (rires)... Je suis vraiment rentré dedans avec les années 80, par la scène néo comme beaucoup de gamins. J’ai grandi dans un petit bled et j’écoutais ce que je pouvais, genre Linkin Park et compagnie, et petit à petit j’ai viré vers la scène Death et la scène Black, le Trash j’ai découvert plus tard grâce à Fab. Je connaissais le style, j’ai découvert Kreator, je prends beaucoup de plaisir maintenant à écouter la scène américaine. Tu sens quand tu écoutes notre premier album que Fab m’avait fait découvrir Testament depuis pas longtemps. Dans le groupe je pense qu’on est très éclectiques, on a des styles de prédilection, mais on évolue en tant que musicien aussi.

Fab : Oui on partage beaucoup nos goûts, on se fait découvrir chacun plein de trucs différents. Ce qui permet pour le groupe d'évoluer chaque fois.

Comment avez-vous vécu cette année de confinement ?

Fab :  Je pense qu’on ne l’a pas vécu tous de la même façon, moi je ne l’ai pas mal vécu du tout parce que j’ai pris le temps où on n’avait plus de concerts pour composer un maximum, pour me recentrer vraiment, apprendre un peu justement le studio, la MAO, tout ce que j’avais jamais fait. J’ai commencé à m’y mettre et ça m’a permis d’évoluer aussi. Je pense que ce confinement nous a beaucoup influencés sur la composition de notre album. En dehors du manque de scène du fait d’être privé plus d’un an et demi c'est dur, sinon le reste je ne l’ai absolument pas mal vécu.

Alex : Moi c'est un peu comme Fab, ça c’est passé à un moment de ma vie où il y avait déjà pas mal d’ondes positives, plus le fait que je pouvais continuer mon boulot, et le fait qu’on a pu se concentrer sur la composition de l'album. C'était dur de ne pas pouvoir répéter ensemble et plus de concerts, mais bon on s’est donnés plein de nouvelles, on restait en contact, et en fait ça nous a bien aidés pour peaufiner l’album, à tel point qu’on se méfie un petit peu pour la composition du prochain parce qu’on sait qu’on n’aura pas autant de temps à nous pour bosser. Dans l’ensemble, c'était assez positif pour moi.

Y va-t-il un artiste ou un groupe avec lequel vous auriez rêvé de jouer ?


Alex : Waouh y en a tellement ... au niveau de notre sensibilité, j’aurai adoré voir notre nom à côté de celui de Motörhead sur une affiche. Ça fait partie des artistes et des humains au-delà des musiciens qui nous ont beaucoup influencés. Quand on voit toutes les pertes que l’on a en ce moment, il en reste mais ça se fait plus rare. On a un batteur et un guitariste qui sont très très fan de Slipknot, ils auraient peut-être bien voulu partager l’affiche avec eux. Moi j’ai toujours était fan de la première heure de Children of Botton, ça aurait été sympa de croiser Laiho sur un concert.

Fab : C'est vrai que quand tu vois toutes ces disparitions ça fait peur, on ne partagera plus les affiches avec certains grands au niveau des festivals ou autres, heureusement qu’il en reste encore un peu... Judas Priest ça serait top... J’espère, si ça se fait, ça serait vraiment génial.

Pour finir, si vous ne deviez conserver que 3 choses : un disque, un film, et un 3ème choix ? Quelle serait votre sélection et pourquoi ?

Alex : Moi je prendrais une bouteille d'eau et un sandwich au poulet (rires).

Fab : Le connaissant je suis sûr qu’il ne prendrait pas une bouteille d'eau mais une bouteille de Jack (rires).

Alex :
J’emporte la trilogie du Seigneur des Anneaux, et en bouquin la biographie de Rob Halford (rires)...

Fab : J'emmènerais Scarlett Johansson avec une bouteille de Jack, et comme je suis fan de fromage, beaucoup de fromage, ça va bien avec les deux autres choix (rires).


Paris 8 Novembre 2021
Thierry Cattier
Photos : Th. Cattier /
Shooting Idols

 

dimanche 21 novembre 2021

NATALIA M.KING // Chronique CD // "Woman Mind Of My Love" Sortie le 5 Novembre 2021.

 
Artiste : Natalia M.King
Album : Woman Mind Of My Love
Date de Sortie : 5 Novembre 2021.
Label : DixieFrog
Genre : Blues

"Woman Mind Of My Own", le nouvel album de Natalia M. King est un joyau. Et elle a bourmingué longtemps, à travers les Etats-Unis, en faisant tous les boulots possibles!

La musique dans le baluchon, c'est son réconfort. Depuis sa prime jeunesse, elle gratte la guitare. Dans des groupes, ou en solo, elle écrit, compose et chante. Mais ce n'est pas en Californie qu'elle rêve de réussir, c'est en France!
Maquettes, concerts, premières parties, disques... Tout s'enchaine harmonieusement. C'est un monde de blues et de rock qui s'ouvre à elle. Son énergie fait merveille.

La soul music explose. La rage originelle fait place aux racines.  Il n'y a pas de production grandiloquente, seulement la musique et le feeling. Elliott Murphy vient d'ailleurs faire une apparition sur une superbe reprise de John Mellencamp, "Pink houses". Il n'est pas le seul. Grant Haua la rejoint sur "(Lover) You Don’t Treat Me No Good". Une version des plus poignantes voit le jour sur ce disque.
One more try de George Michael est sublimée ici. Dépouillée de ses arrangements, l’essentiel nous saute aux oreilles. Nous sommes dans son salon!

Nous trouvons également la trace des engagements de Natalia. A ne pas rater également l’interview de Natalia un beau moment de grâce sur Shooting Idols. Ainsi "Aka Chosen", le premier single, est un étendard LGBT brandi bien haut. Ce coming-out au début de l'album en fait une pièce maîtresse. L'âme du blues et du gospel vont nous étreindre pendant tout cette écoute au coeur du rythm'n'blues.

Inévitable!!!

 


Les Titres

1 Woman Mind Of My Love
2 Aka Chosen
3 Forget Yourself
4 Pink houses
5 So Far Away
6 (lover) you don't treat me no good
7 Sunrise to Sunset
8 Play on
9 One more Try

Midnight Riffer

samedi 20 novembre 2021

Roger Kasparian // Expo photos // Les Sixties à Paris Le Meridien @ A partir du 2 Décembre 2021 au 02 Mars 2022.

 
Pour sa réouverture, le JAZZ CLUB étoile propose pour une durée de 3 mois une exposition photo d’une série de 30 tirages argentiques de Roger Kasparian qui est l'un des grands photographes, témoin de la naissance des sixties retraçant en image le passage à Paris des plus grands noms de la musique pop, rock, jazz et yéyés.

Roger Kasparian, les folles années 60 et le Jazz Club Etoile

Roger Kasparian, photoreporter, réalise dans les années 60 des centaines de photos des plus grandes icônes de la musique.
Il a ainsi fixé sur pellicule toute la vague des yéyés mais aussi les musiciens anglais et américains, Coltrane, Monk, Nina Simone, Ella, Ray Charles, les Rolling Stones, les Beatles, les Kinks,
Gainsbourg , Dutronc
…pour n’en citer que quelques-uns…
C'est sans aucun doute ce qui le lie au Jazz Club Etoile, scène ouverte et éclectique où les légendes d'hier croisent et inspirent celles de demain.
Ce club s'attache depuis sa création à proposer une programmation musicale foisonnante où bon nombre de stars de la musique ont foulé sa scène devenue mythique.



A l'occasion du vernissage qui aura lieu le 2 Décembre 2021 à partir de 19H,
la présentation sera suivi d'un concert exceptionnel de Laurence Jones

Laurence Jones, âgé de 27 ans et originaire de Liverpool, fait partie de cette jeune génération biberonnée aux disques de ses parents, qui redécouvre le
plaisir simple d'un bon riff, d'un solo de guitare, d'un refrain entraînant. Lui a démarré très tôt, puisque la légende dit qu'avec son premier trio, il tournait déjà à 17 ans en compagnie de Johnny Winter ou Walter Trout ! Le jeune surdoué britannique a déjà sorti 6 albums outre-Manche et a foulé pour la 1ère fois le sol français au Jazz Club Etoile en 2019.
(M.Valentin - Le Parisien)



mercredi 17 novembre 2021

ROZEDALE // Rappel // En concert, Paris La Maroquinerie vendredi 19 novembre 2021.

 

Rappel : ROZEDALE en concert à Paris La Maroquinerie vendredi 19 novembre 2021.




Ce groupe originaire de l'Est de la France vient de sortir son 3ème album mixé par Chris Sheldon, l'ingé son des Foo Fighters, de Garbage, Skunk Anansie, Biffy Clyro...

Le clip "Ghost For You" vous donnera une première idée de leur musique qui oscille entre blues rock et pop rock.


Yann Charles Passion Rock // Expo photos // Paris Café Caumartin @ A partir du 18 Novembre 2021.

 

EXPO PHOTOS "Passion Rock" par  Yann Charles à partir du 18 novembre prochain
Yann Charles expose ses clichés au Café Caumartin.
Passez prendre un verre et admirer son excellent boulot dans un non moins excellent endroit résolument ROCK!
"A partir du 18 Novembre 2021, venez partager ma passion pour le Rock et la photo au Café Caumartin avec l'expo "Passion Rock" où j'exposerais quelques uns des clichés marquants de mes années passées à parcourir les scènes et les festivals.