Aujourd’hui un rendez-vous incontournable au jazz Club Etoile un lieu mythique ou la déesse de la Funky (élue parmi les 10 meilleurs bassistes du monde) harnaché de sa basse Funky y fait son retour chez nous, Après avoir accompagné le kid de Minneapolis Prince et mené une carrière solo avec un gros succès Ida Nielsen est enfin chez nous.
Accompagnée de ses Funkbots un guitariste et un batteur phénoménal David Haynes . Et en invité surprise la chanteuse est LiV Warfield .
Ce soir Ida Nielsen enflammez la scène du jazz Club Etoile avec presque deux heures de concert mélangeant les titres de son nouvel album “More Sauce, Please !” et quelques pépites qui on jalonnait ça carrière si productive teinte de Funk Soul et son Groove sans oublier la note Princière évidemment... Au devant la scène a étai mis à disposition au beau milieu des tables un centre vide réservé à ceux qui auront envie de danser et de s'éclater chose qui va très vite se faire ressentir le public en es ravie.
Après presque 2 heures de show une petite séance de dédicace qui permet d'échanger quelques mots (comme on en l'habitude au Jazz Club Etoile) avec la belle Ida Nielsen qui le lendemain se retrouvera pour un autre concert à La Batterie Guyancourt.
Et oui pour un retour en force des Muzik'Elles avec cette édition du retour et cette année en 11ème édition âpres une absence de quelques années voici une belle renaissance ici pour les Muzik'Elles avec une affiche à faire rêver.
Le samedi ouverture du festival avec.
COLINE RIO, une chanteuse qui âpres avoir fait ses débuts avec le groupe Inüit aujourd'hui Auteure compositrice, interprète Coline Rio fait carrière en solo d'une très belle manière et ouvre ce Muzik'Elles de ça voie enchanteuse.
COLINE RIO
CHARLÈNE JUAREZ Puis c'est au tour de Charlène Juarez avec son premier prix de piano du conservatoire de Boulogne Billancourt de nous invite dans son univers calfeutré et son monde acoustique un doux moment de talent si brut.
CHARLENE JUAREZ
ADE Après avoir délaissé son groupe Therapie Taxi en 2021 Adé Auteure compositrice interprète, trace son chemin au travers des villes et des passages radio avec son album solo "Et Alors ?" avec un son très Américain mélangeant folk et country nous offre un set agréable et très efficace.
ADE
CZESARE Au travers des sons rock de sa guitare, Czesare nous envahit avec des mélodies remplies d'émotions. Les sujets sont très vastes, et nous décrit son monde de solitude, d'angoisse, mais avec un brin d'espoir. Des titres qui parle très fort au public des premiers rangs. Un vrai talent à n'en pas douter.
CZESARE
M Comme a son habitude M, embarque le public dans son univers avec aujourd'hui la dernière date Française de sa longue tournée Révalité qui a sillonné les villes de France et qui, quelques jours plus tard, par un concert à Londres au Royal Albert Hall. Intense et délirant, le monde de M est si touchant et vivant que le public s'en donne à cœur joie en dansant chantant avec lui. Dans le cadre de ce festival mettant en avant les femmes, M. a agrémenté ces quelques charmantes personnes qui nous offrent quelques beaux duos.
Setlist M Rêvalité / Qui de nous deux / Onde sensuelle / La Seine / Life on Mars(Gail Ann Dorsey) À toi (avec Gail Ann Dorsey) / Faut oublier (avec Czesare et Charlène Juarez) La bonne étoile (avec Coline Rio) / Superchérie (avec Emma Peters) / Manitoumani (avec Fatoumata Diawara) Mogodo / Grand petit con / Mama Sam / Machistador / Mojo / Je dis aime / Dans ta radio /En tête à tête
Puis ce Dimanche 2éme jours à l'affiche...
MENTISSA Tout droit venu de la saison 10 de The Voice au sein de l’équipe de Vianney. Bonus elle signera sur son label Tôt ou Tard et il lui écrira même un titre "Et Bam". Elle enchaine les concerts depuis le début de cette année 2023 et reçoit un excellent accueil auprès du public et ce soir aussi a Meaux au Muzik'Elles elle rayonne au yeux de ce public complétement acquis.
MENTISSA
CHIARA FOSCIANI Avec son arrivée dans le monde de l'Electro Pop, débordant d'énergie Chiara Fosciani chante sur des mélodies efficaces et des paroles puissantes sur les problèmes de la jeunesse d'aujourd'hui et malgré le fait de chanter en Anglais, sa présence et ça fouge sont bien là avec une grave efficacité.
CHIARA FOSCIANI
NEJ' Aujourd'hui Dimanche Nej' reste un des noms les plus attendu ce week-end au Muzik'Elles ces sonorités orientales et urbaines, et sa Pop/R&B son parcourt a été très rapide arrivant de Toulouse une rencontre avec Yannick Noah, un remix avec Booba pour "Validée" efficace et aujourd'hui après un passage à la Cigale, l'Olympia et avec sa tournée qui triomphe chaque soir. Ce rendez-vous au Muzik'Elles a été réussi et le public conquis en redemande encore.
NEJ'
JENIFER Pour terminer ce week-end des Muzik'Elles Jenifer vient avec une 20 de titres enflammés de son charme et de sa bonne humeur la scène des Muzik'Elles avec quelques tubes comme "Tourner ma Page" "Au Soleil" " J'attends l'Amour" et "Ma Révolution" entre autres. Avec un set bien rodé, puisque la tournée a débuter en mars et se terminera à Paris en décembre. Jenifer, en pleine forme a mis le feu au stade Tauziet de Meaux pour clôturer ce festival en beauté.
JENIFER
Et en attendant, on se donne rendez vous pour la prochaine édition des Muzik'Elles les le 21 et 22 septembre 2024.
Pouvez vous vous présenter ainsi que le Groupe ? STEPHANE.
je suis Stéphane, le chanteur de Darken groupe que j'ai fondé en 1987
avec l'ancien batteur et avec (?) qui a remonté le projet récemment.
Heureux de rejouer ensemble aujourd'hui.
LORENZO. Je suis Lorenzo, guitariste et relanceur du projet. Une aventure qui
prend un autre chemin. Pour l'instant on est très contents.
LIAM. Et moi c'est Liam le batteur. Du coup je suis nouveau dans le projet. Nouveau line-up. Je viens d'arriver Comment vous est venue l'envie de relancer le groupe ,
LORENZO En fait cette histoire de Covid a fait qu'on ne pouvait plus répéter ou
jouer avec les groupes et il y avait cette petite envie de reprendre un
projet inachevé de Darken. C'est parti comme ça. J'ai relancé les gars,
on est allé chercher tous le monde et ça s'est fait tout naturellement et assez
rapidement quand même.darken
Vous avez joué de 1987 à 1991 pourquoi un aussi long silence jusqu'à aujourd'hui ? STEPHANE. Alors ça c'était lié à un problème relationnel, pour ma part, avec le
batteur de l'époque alors qu'on avait fait d'autres groupes ensemble.
On avait joué dans d'autres projets avant Darken. Mais, bon, ça ne
matchait plus. Je n'ai aucun mal à dire de qui que ce soit. C'est juste
qu'à un moment j'ai pris la décision de quitter le groupe car je ne
supportais plus l'ambiance qu'il y avait à ce moment là. C'est ce qui
fait qu'après mon départ a essayé de poursuivre le groupe. Moi je
suis parti en 1990. LORENZO. En fait on a retrouvé un batteur mais on a jamais trouvé de chanteur.
On a fait des auditions mais rien ne collait avec ce que l'on faisait à
l'époque. Du coup on a jeté l'éponge. Chacun est parti dans d'autres
projets et ce fût l'arrêt total de Darken.
Quels étaient vos autres projets parallèlement ? LORENZO. pour ma part je suis parti dans un groupe qui s'appelait OXDOX.
Michael est reparti dans sa Bretagne et préférait rester sur Laval pour
Darken qui était plutôt de Brest, Morlaix. C'était CANNIBAL STRYKER à l'époque. Phylos a
intégré SCOOLER étaient partis, à ce moment là, aux
États-Unis.
STEPHANE Moi je suis allé à Paris. et j'ai intégré un groupe de la région
parisienne.
LORENZO.Et Jean Phi, quant à lui, à arrêté la musique. Il a rejoué dans un groupe
avec COLLERA.
STEPHANE Ils ont refait un groupe qui s'appelait Collera et ils ont, quand même,
sorti un album. Du coup Lorenzo m'a dit "On remet ça!". Il nous a persuadés
et bien convaincus. Il est vrai que j'avais toujours au fond de moi
l'envie de refaire de la musique mais ça ne pouvait pas être avec
quelqu'un d'autre qu'avec Lorenzo. Et forcément, lorsqu'il nous a parlé de ça,
on s'est dit qu'on allait partir sur une autre base. On s'est laissés
porter et guider. Et tout se passe à merveille.
D'où vient l'idée ou la signification du nom "Darken"? STEPHANE En fait il n'y en a pas forcément. Il se trouve qu'à l'époque où l'on
a remonté ce groupe là, on avait pas de nom de groupe. Du coup, un
soir, on s'est organisé une AG et chacun est arrivé avec un nom, enfin
avec une liste de noms de groupes et parmi tous ceux-là c'est Darken qui
est ressorti. C'était vraiment la façon dont il sonnait et c'était un
nom facile à retenir. Et le choix s'est plus porté sur ce critère que
sur sa signification.
Quels sont les groupes qui vous ont donné envie de faire de la musique ?
LORENZO.pour moi, c'est simple. C'est ACDC. Mes parents écoutaient un peu de
rock'n'roll et de blues. Elvis Presley et tout ça. Un jour je sors de
classe et un pote qui avait trois vinyles m'en prête un. C'était le If you want blood
d'ACDC. Je l'ai mis sur le tourne-disque de mes parents et ça a changé
ma vie. C'est un son, un style qui a fait que je me suis dit "c'est ça
que je veux faire". Ça n'a pas été bon pour le cursus scolaire. Et c'est
parti de là.
STEPHANE En ce qui me concerne c'est Kiss. J'ai découvert le groupe avec "I
Was Made for Lovin' You" à la fin des années 70. A cette époque je
cherchais mon style de musique et le jour où je les ai vu à la
télévision avec leurs tenues, leurs concerts, j'ai vraiment halluciné.
C'est vraiment quelque chose qui m'a fait rêver à l'époque. Je suis allé
les voir au Hellfest, cette année et j'y suis retourné, depuis, car je
savais que c'était la dernière fois. Et puis, bien sûr, une multitude de
groupes au début des années 80 mais, à la base, c'est Kiss qui m'a plu
LIAM.moi, du coup, c'est pas forcément un groupe ou un artiste. C'est mon
papa qui m'a légué ce goût, cette passion, cet engouement. Et de fil en
aiguille j'ai découvert la batterie. J'ai voulu absolument faire de la
batterie. Et le fait d'être dans une famille rock'n'roll et de
musiciens, ça aide. Ils m'ont ouvert les portes et je me suis nourri, au
fur et à mesure, de nombreuses influences qui partaient dans des choses
complètement différentes. Je suis un très gros fan de ce qu'on appelle
le punk à roulettes c'est à dire le pop punk américain, californien. Et
puis j'ai évolué vers d'autres influences. Mais à la base, tout est
parti de papa.
Quel effet cela fait de travailler en famille ?
LORENZO.jamais je n'aurais imaginé ça. Je ne me suis jamais dis un jour je vais
fabriquer mon batteur mais c'est un ressenti inimaginable. Je fais
parfois des arrêts sur images et je me dis que je joue avec mon fils.
C'est un truc énorme.
LIAM.du coup, pour moi, c'est pareil. Vous jouez avec papa ? Ça vous est
déjà arrivé ? Et bien oui, c'est grâce à lui que j'ai fait mes premières
scènes quand il jouait avec ses autres groupes. Des fois ça m'arrivait
de monter avec eux, de partager un petit peu. J'avais déjà dans l'idée
de rejouer avec lui de temps en temps mais de là à monter un projet
aussi ambitieux que Darken, je ne m'y attendais pas. C'est un bonheur
absolu de pouvoir partager ça en famille et d'en être là aujourd'hui.
D'où l'idée de réunir la famille? LORENZO.Je pensais forcément à Liam puisqu'on avait pas de batteur mais sachant
qu'il était aussi très pris avec son projet à côté, j'étais pas certain
qu'il accepte et quand il a dit oui c'était trop génial.
Comment s'est passé l'enregistrement de cet album Welcome to the light?
LORENZO. Super car nous étions dans un studio avec David Gauvin qui est un gars extraordinaire. Moi, j'appréhendais car, franchement, même si j'ai toujours eu des groupes auparavant je me suis dit entre les répétitions et un concert, le studio c'est un autre univers et avec un gars comme ça, c'est super. Il te met à l'aise et te met en confiance. Il est de bon conseil et ne te crie pas dessus. Franchement ça s'est très bien passé. On peut dire merci à David.
STEPHANE c'est une super aventure musicale mais aussi humaine et j'en garde un super souvenir car, pour les mêmes raisons que Lorenzo j'appréhendais parce que, effectivement, le studio ça faisait bien des années que je n'en avais pas fait. Mais, aujourd'hui, on est dans d'autres conditions au niveau de la technologie et lorsque tu tombes sur quelqu'un comme lui qui a quand même une grosse expérience en tant que musicien et, évidemment aussi, en tant qu' ingénieur du son, ça n'a été que du bonheur. Il a su nous emmener là où il fallait aller. Tout simplement.
LORENZO.il a su garder ce côté tout en apportant la modernité actuelle que ramène Yan et HP. De toutes façons, même moi, je ne voulais pas qu'on fasse du Darken première époque dans le son comme dans le style et il l'a très bien senti. Il nous a emmené là où je n'aurais même pas imaginé. Il a réussi à donner la vraie valeur aux morceaux. Il a adhéré tout de suite au projet lorsqu'on lui a envoyé les demos. Il était sûr de lui par rapport à ce projet. C'est inimaginable. On ne pouvait pas rêver mieux.
Comment avec procéder-vous pour la création des titres ? LORENZO.en ce qui concerne la composition des morceaux, comment ça vient ?
J'en sais rien. Je suis dans mon local, je fais tourner des Patern de
batterie et j'ai des idées qui partent. J'imbrique mes trucs, je compose
mes morceaux et quand j'ai une base qui commence à me plaire, je
l'envoie à Stephane et il se débrouille à me faire une ligne de chant qui
colle. Alors il y a des fois où je lui dit "Non, pas ça !" et des fois
je fais "Ah, c'est super"! On lâche pas. On bidouille au départ, plus
tous les deux, on vire les parties de batterie et on envoie ça à Liam qui
fait ses compos batterie et nous ramène sa touche ce qui fait que ça
relève le morceau. HP nous ramène la puissance de sa basse, ses idées
aussi. Des fois il nous dit "Les gars, ce morceau est trop long. Il faut
couper là. Et finalement c'est super.
STEPHANE Chacun a son mot à dire, apporte son écoute et chacun accepte.
LIAM Ce qui est bien c'est qu'avec la technologie, on peut tous
enregistrer chez nous. Ça permet de gagner un temps fou et, en fait, on
compose tout comme ça, à distance. Ensuite on fait le point et après on
vient aux répets avec les morceaux quand les arrangements sont finis et
on les peaufine. Mais on ne compose pas directement aux répétitions. Ça
permet de gagner du temps pour tout le monde. C'est très efficace et ça
marche très bien avec nous.
STEPHANE Quand on arrive aux répétitions on sait quand le morceau est terminé.
On se prépare comme ça, aussi, pour les concerts du coup.
LORENZO.Quand on a la base du morceau, on fait écouter à nos proches. Pour
nous c'est important car si l'environnement proche accroche sur les
morceaux, on sait que ça va fonctionner. La première personne c'est ma
femme. Parfois elle me dit "C'est pas terrible votre truc", c'est déjà
arrivé. Donc c'est pour ça qu'on a quelques morceaux dans les placards
aussi. Et ça fonctionne. Cette manière de faire fonctionne bien. Est-ce qu'il reste quelques morceaux non retenus?
LORENZO.Il y en a qu'on garde pour la suite, c'est sûr.
STEPHANE On avait une liste de 12 morceaux mais il en fallait 11. On en a donc supprimé 1 mais il est là. Il existe.
LORENZO.il y en a 2 ou 3 autres mais je pense qu'on va laisser tomber car ils sont plus dans le début du processus. Ils manquent de quelque chose. Par contre, on en a deux nouveaux qui sont déjà bien avancés. Il n'y a pas encore les parties de Liam mais c'est encore mieux. Déjà ils accrochent l'environnement. Donc ceux-là on va les garder.
STEPHANE Et puis dans notre entourage, il nous parle de sa femme pour laquelle, effectivement, on aime bien avoir son avis car elle est très objective mais on a aussi d'autres copains qui connaissent bien la musique et nous disent ce qu'ils pensent. Et nous ce qu'on voit c'est ça sinon ça n'a aucun intérêt. Et nous ça nous aide, bien évidemment, à avancer et à structurer nos morceaux.
Y a-t-il un artiste ou un groupe avec lequel vous rêvez de jouer ?
LORENZO. ah, ça par contre, il y en a quelques uns. Déjà ce qui serait bien
c'est de jouer au Hellfest une bonne scène du festival. Ce serait un bon
départ. Maintenant des artistes, il y en a tellement. De Pearl Jam à
Slayer en passant par Alice in Chains. Tellement de gens différents
qu'on est preneur de tout.
STEPHANE preneur de tous les groupes qu'on aime. Et moi j'en ai un (il montre
son tee tee-shirt), c'est Dream Theater depuis toujours. Et si tu me
demandes de choisir parmi tous ces groupes, je vais te dire Dream
Theater. Ça pourrait paraître prétentieux mais comme la question est
volage, oui Dream Theater. C'est pour moi la référence absolue. Mon pur
bonheur ce serait ça. S'il devait exister ce serait celui-là.
LIAM.Partager la scène avec Travis Barkerle batteur de Blink 182 qui est absolument
incroyable. C'est l'une de mes plus grosses influences aujourd'hui. Ce
serait plus qu'un rêve de partager ça.
LORENZO.J'ai pas forcément de groupe préféré. Si on trouve un groupe qui nous
emmène sur 15 dates en France, je veux bien cautionner ce groupe là
quel qu'il soit. Parlez nous du design de la pochette ? LORENZO.Je suis graphiste à la base. C'est plus pour le côté graphique de
l'image. Je suis tombé sur cette photo, sur ce visage et j'ai commencé à
travailler sur le projet. On a le bassiste qui, lui aussi, est
graphiste et est venu mettre sa touche dessus. C'est un travail à deux.
Et puis il a fallu l'avis des gars. Ça l'a fait et c'est parti comme ça. Comment d'ecrivez-vous votre musique ?
LIAM.Déjà l'adjectif qu'on peut mettre dessus c'est metal alternatif parce
que ça regroupe pas mal d'influences diverses et variées. On veut faire
comme tel ou tel groupe mais il y a un conflit de générations dans le
projet avec papa et Stephane qui sont les plus anciens du groupe, moi qui a
contrario suis le plus jeune à tout juste 25 ans et puis HP qui est
entre les deux. Ça permet de mélanger tout ça et d'avoir les influences
de tout le monde et de toutes les époques aussi. Et, aujourd'hui, on
voulait partir sur une base avec ce qui venait des uns et des autres,
surtout quelque chose de plus moderne. Nous voulions
absolument faire quelque chose de moderne, Stéphane et papa souhaitaient
également faire du moderne. Et comme nous l'étions déjà avec nos
projets dans ces styles musicaux, on s'est dit qu'on allait y apporter
notre touche. Donc voilà, un metal alternatif moderne qui est très
mélodique et plein de couleurs. C'est ce qui pourrait le plus définir ce
qu'on fait aujourd'hui.
LORENZO.Tout en étant puissant.
LIAM.Bien sûr! Après c'est du métal. Donc ça reste puissant.
Quels sont vos projets pour les mois à venir ?
LORENZO.Des dates, ce serait bien. J'espère qu'avec ce qu'on fait
aujourd'hui, l'album à la fin du mois, ça va se décanter.
STEPHANE Oui, un concert à l'occasion. C'est ça maintenant. Avec toutes ces
répétitions on est archi-prêts. De pouvoir les exprimer et de partager
ça avec un maximum de gens. Ce serait le bonheur suprême de pouvoir être
sur scène et de concrétiser tout ce qu'on a réalisé, car il y a
énormément de travail derrière tout ça, évidemment. Voilà, c'est ça. Ce
sont des dates et continuer à écrire et composer.
Pour finir, si vous ne deviez conserver 3 choses: un disque, un film, et un 3ème choix ? Quelle serait votre sélection et pourquoi ? LORENZO.Pour moi ce serait ma famille. Un film ? Peut-être "Alien". Et un
disque ? Je pense, car ça été le déclencheur, que ce serait le If you want blood
d'ACDC.
STEPHANE Un film ? "Jean de Florette", "Manon des Sources". Mon inspiration en
littérature c'est Marcel Pagnol. Ce sont des films qui me parlent. La
Provence aussi. Je suis dans un rêve quand je regarde ça. Mais plus
d'ailleurs, je pense au "Château de ma mère" et "La gloire de mon père".
Ça c'est vraiment l'histoire de Marcel Pagnol. Plutôt ces deux-là. Ce
sont vraiment des films qui m'ont touchés et aussi des livres que j'ai
lu depuis très jeune qui ont déclenchés, chez moi, cet amour pour cet
écrivain. Après, un disque il y en a plein mais si je ne devais en
retenir qu'un ce serait forcément Imagination World de Dream Theater que j'ai
découvert lorsque j'ai eu la chance d'être en vacances aux États-Unis.
Je l'ai découvert là-bas et c'est vraiment, par définition, le groupe
que j'aime le plus. Il y en a plein d'autres mais celui-ci c'est
vraiment le number one. Et c'est précisément cet album qui a déclenché
mon amour pour ce groupe. Et la troisième chose, avoir mes enfants.
LIAM.Pour un disque ce serait forcément Chuck de Sum 41 de Mars Attack qui est absolument
incroyable. Depuis que je l'ai découvert je pourrais l'écouter en boucle
toute ma vie. Ce serait la même chose. Je le trouve tellement
incroyable que je m'en suis inspiré par rapport à mon jeu de batterie.
J'ai vécu tellement de choses avec cet album que ça restera gravé en moi
pour toujours. Un film ? Je suis un très gros fan de "Mars Attacks!",
ce côté complètement délire extra-terrestre, j'adore ! Je partirais sur
ça. Et la troisième chose, ce serait ma batterie, clairement. Ça, je ne
pourrais pas vivre sans. Quelque chose à rajouter ? LORENZO.Prenez-nous sur vos scènes, venez vous éclater. C'est le but de tout
ça. C'est de faire des concerts. Si j'ai un message à faire passer c'est
qu'on espère vous voir bientôt en concert. Ce sera un plaisir de
partager ça avec vous.
Artiste : Heavenly Cream Album : An Acoustic Tribute To Cream Date de Sortie : le 3 Novembre 2023. Label : Quarto Valley Records / Bertus France Genre : Rock / Blues
Avec ce projet on ne survole l'héritage de CREAM avec un album en hommage à ce groupe légendaire avec pas moi que 15 titres et une liste de noms venue ici pour rendre ce vibrant hommage... Pete Brown, Ginger Baker, Joe Bonamassa, Deborah Bonham, Malcolm Bruce, Bull Bullick, Nathan James, Bernie Marsden, Maggie Bell. Une belle réunion au sommet tous ceux qui ont connu ou été inspirés par le groupe Cream. Également quelques participation de Cheryl Alleyne, Winston Blissett, Pee Wee Ellis, Mo Foster, Moreno Buttinar, Abass Dodoo, John Donaldson, Neil Murray, Mo Nazam, Tony Remy et Frank Tontoh.
Pete Brown disait : « Il m'a fallu beaucoup de temps avant que je ne tenterais ces chansons. J'ai grandi dans l'ombre de Jack, comme Malcolm l'a fait aussi, vous savez. Je n'essaie pas d'être Jack. Personne ne sera jamais Jack. Finalement, j'ai ressenti, eh bien, ce sont aussi mes chansons et j'ai grandi en ces chansons que Jack et moi avons écrites ».
Avec un single extrait de l'album, "Sunshine Of Your Love", ou l’on retrouve Ginger Baker à la batterie, Joe Bonamassa chant et guitare, Malcom Bruce piano et Bernie Marsden chant et guitare, Neil Murray à la basse et Abass Dodoo en percussions. Ce titre, coécrite par Jack Bruce et Pete Brown, sorti dans le second album "Samsel Eleli Gears"en novembre 1967 et est devenue un des titres les plus mythique du rock Psychedelique.
Heavenly Cream: An Acoustic Tribute to Cream (Heavenly Cream: An Acoustic Trim) enregistré à l'abbaye Road Studios de Londres.
Malcom Bruce disait : «Je ressens beaucoup de ce que, d'une manière, je suis en grande partie pour mener une tradition qui est incroyablement unique dans le canon musical en quelque sorte.»
Ce disque et un disque indispensable et un vibrant hommage à l’un des plus grands groupes de l’histoire du rock». À l'écoute de cet album, on touche du doigt la passion et le plaisir que tous ces grands ont ressenti dans ce projet et du coup cela en fait une vraie pépite qui marque les souvenirs de ces années CREAM qui nous manque tant. Que l'on soit un passionné de musique ou non, il est primordial d'avoir ce disque dans sa discothèque.
Les Titres :
1. I Feel Free (Feat: Deborah Bonham, Bernie Marsden and Malcolm Bruce) 2. White Room (Feat: Pete Brown, Malcolm Bruce and Clem Clempson) 3. Theme For An Imaginary Western (Feat: Pete Brown, Malcolm Bruce and Clem Clempson) 4. We’re Going Wrong (Feat Malcolm Bruce and Clem Clempson) 5. Sunshine Of Your Love (Feat: Ginger Baker, Joe Bonamassa, Malcolm Bruce and Bernie Marsden) 6. Deserted Cities Of The Heart (Feat: Joe Bonamassa, Bernie Marsden and Malcolm Bruce) 7. Sweet Wine (Feat: Ginger Baker,Nathan James,Pee Wee Ellis,Bernie Marsden and Malcolm Bruce) 8. Tales Of Brave Ulysses (Feat:Ginger Baker, Nathan James, Pee Wee Ellis Bernie Marsden and Malcolm Bruce) 9. Crossroads (Feat: Ginger Baker, Bernie Marsden, Joe Bonamassa and Malcolm Bruce) 10. Take It Back (Feat: Maggie Bell, Bernie Marsden and Malcolm Bruce) 11. Spoonful (Feat: Bobby Rush, Bernie Marsden and Malcolm Bruce) 12. Sitting On Top Of The World (Feat: Bobby Rush, Maggie Bell, Bernie Marsden and Malcolm Bruce) 13. Badge (Feat: Deborah Bonham, Bernie Marsden and Malcolm Bruce) 14. Politician (Feat: Pete Brown, Bernie Marsden and Malcolm Bruce) 15. Born Under A Bad Sign (Feat: Paul Rodgers, Bernie Marsden and Malcolm Bruce)
Pouvez-vous vous présenter et présenter le Groupe ? Fred Dee Ceased. Je suis Fred Dee Ceased, chanteur et bassiste du groupe Sleazyz. On fait de l'Horror Metal et on est dans un trip à la Fun Fair Rock N Roll avec un petit côté macabre mais aussi fun. C'est ce que l'on aime. Le Glam Metal le Sleaze et puis l'Horror Metal évidemment.
D'où vient l'idée et la signification du nom "SLEAZYZ"? Fred Dee Ceased. En fait Sleazyz ça vient du Sunset trip des années 80 à Los Angeles, évidemment. C'est presque comme du Glam mais c'est plus dark, un peu plus déglingué et plus rock'n'roll. Il y a vraiment trois groupes que j'adore. L.A. Guns, évidemment, le premier groupe d'Axl Rose. L.A. Guns est beaucoup mieux que Guns N' Roses, pour moi, mais c'est une question de goût. Ensuite il y a Faster Pussycat qui est un énorme groupe et qu'on a eu la chance, avec Pandemonium la guitariste de Sleazyz, de rencontrer au Monster Of Rock Cruise. On a pu discuter avec eux. C'était super. Sleazyz ça veut dire un peu déglingué car j'aime bien le Glam Metal. Mais nous nos influences c'est vraiment le Schock rock, Alice Cooper, tout ça. Mais aussi le sleaze, le Glam du Sunset trip des années 80.
Quels sont les groupes qui vous ont donné envie de faire de la musique ? Fred Dee Ceased. Alors vraiment, mon groupe à moi dont je suis fan depuis toujours, c'est Mötley Crüe. Je rêvais de devenir Nikki Sixx. C'est pour ça que je me suis mis à la basse. Et puis j'ai une Thunderbird Gibson évidemment car ça va avec. C'est vraiment le groupe qui m'a fait découvrir, ensuite, Rage, les Faster Pussycat, Guns N' Roses, White, Poison. En fait tout ce Sunset trip. Je trouvais ça décadent, rock'n'roll. Ça me faisait rêver. Avec ce 4eme album comment ressentez vous votre evolution ? Fred Dee Ceased. Quand Sleazyz a commencé, c'était un petit projet. Ça a vraiment démarré en 2003 avec des membres de ma famille. Au début on faisait chacun nôtre musique de nôtre côté. Puis on s'est mis ensemble et on a créé un espèce de projet que j'ai conservé ensuite et j'ai changé le line-up. Mais, vraiment, la renaissance du groupe c'est en 2018 quand j'ai déménagé sur Troyes. J'ai changé complètement le line-up.
Parle nous du design de la pochette GLITTER GHOULZ FROM HELL ?
Fred Dee Ceased. Ça, c'est la guitariste Pandemonium qui l'a fait avec Dominique Kulibanov de High-School MotherFuckers le bassiste car ce sont des bons potes à nous. Ils nous ont bien aidé. Le graphisme c'est elle. En fait, on à la chance de travailler avec un super photographe qui s'appelle Jean Louis Serpico. On a fait trois sessions photos avec lui qui ont été incroyables et du coup il y avait tellement de belles photos qu'on s'est dit on va se la faire à l'ancienne, vraiment années 80, avec le groupe en façade, avec le petit logo qui brille. Le premier album était plus Horror Metal, celui-là est plus dans un esprit Glam et, bien évidemment, ce côté gore qu'on a gardé parce qu'on aime ça. Le Shockrock Rob Zombie, Kiss, Alice Cooper, le Glam rock, toutes ces influences là. Et puis aussi les New York Dolls qu'on aime aussi.
Parlez nous de votre passion pour les films d'horreur lesquels vous ont le plus influencé ?
Fred Dee Ceased. Pandemonium, elle, nous dirait que c'est "l'exorciste"son film favori. Moi, je suis plus Séries B et séries Z. Mon film de chevet, franchement, c'est "Le retour des morts vivants". J'adore ! 1985. Il y a une bande-son incroyable en plus avec les Cramps et tout. Ce film là est pour moi un de mes films de chevet et puis, évidemment, j'adore plein d'autres choses. C'est assez large le panel de films qu'on a à la maison car on collectione. On a entre 300 et 400 DVD. Moi, j'avais ma collection à la base et puis Pandemonium aussi. On a réuni tout ça comme on vit ensemble. On a une collection incroyable qui va des films des années 30 d'Universal aus années 2010 avec "Conjuring". Mais moi je suis plus séries B et séries Z, plus "Asylum". Plutôt ces trucs comme "Ed Wood". En fait j'aime bien le côté fun. Elle, est plus sérieuse dans l'esprit horreur. J'adore Mario Bava "Evil Dead 2" mais j'aime bien aussi le côté décadent. En fait j'aime bien les deux!.
Votre coté théâtral a t'il un message à transmettre ?
Fred Dee Ceased. Non, c'est juste pour le fun. A la base avec Sleazyz, en 2018/2019, on a fait une soirée Halloween et on s'est dit on va se maquiller. On a trouvé ça drôle, on a trouvé ça fun et du coup on a gardé ce côté Shock métal, théâtral. Tu n'as pas forcément beaucoup de groupes en France. Bien sûr, il y en a pas mal qui sont maquillés mais qui ne font pas vraiment de l'Horror metal. Ils font un autre style de métal mais pas de l'Horror metal comme on pourrait l'entendre avec les groupes américains. L'important c'est la musique. Le look aussi bien sûr mais le plus important c'est la musique. On travaille la musique et après le look. C'est la cerise sur le gâteau. C'est juste histoire de se diversifier des autres groupes avec, aussi, ce côté théâtral car on adore ça. On adore Kiss, Alice Cooper comme j'ai dis tout à l'heure.
Comment s'est passé l'enregistrement de cet album GLITTER GHOULZ FROM HELL?
Fred Dee Ceased. Ça s'est passé exactement comme "March Of The Dead" qu'on a fait en 2020. C'est à dire qu'on a bossé avec Jean Marc Pinaud Maz qui a travaillé longtemps avec No One Is Innocent, Mass Hysteria, Tagada Jones, Darcy et on a enregistré notre album, qui contient 10 titres, en 5 jours comme on a fait la dernière fois. Ça s'est super bien passé. Maz est pas seulement un mec qui t'enregistre et qui ne fait rien d'autre. Il nous propose des choses. C'est presque un producteur. Il nous a bien drivé. Et puis ça été un plaisir comme d'habitude. C'était super. On aurait aimé, toutefois, avoir plus de temps mais comme il est super booké Maz, on est pas allé au au-delà. On aurait vraiment aimé que ça dure un peu plus, mais bon. On verra peut-être sur le troisième album comment ça va se passer. Pour l'instant on a fait 10 titres en 5 jours et c'était super encore une fois.
Comment procédez-vous pour la création des titres ?
Fred Dee Ceased. En général ce que je fais c'est que je bosse plutôt en amont à la maison. Je fais des démos. J'ai un petit Mac et j'enregistre comme ça, vite fait. Je gratouille et je bidouille un peu les boites à rythmes mais vraiment pour poser les bases. Après, généralement, je fais écouter aux membres du groupe pour voir si ça leur plaît ou pas. Si ça leur plaît on commence à travailler dessus. Là, c'est vraiment la base de la démo et après on travaille ensemble. Sur cet album, j'ai laissé aussi un peu plus d'espace à la guitariste rythmique et un peu plus à David aussi. Cet album a été enregistré entre fin 2021 et fin 2022 et a été conçu un petit peu dans la douleur. Je parle au niveau de la création. Ça été très difficile car ma mère était très malade. En fait je l'ai perdue à ce moment là. Du coup ça a laissé un peu d'espace aux autres qui ont proposé des choses. Je dirigeais mais là, du coup, il y a eu plus d'échanges et ça a apporté beaucoup de choses. Je pense que c'est un des albums les plus aboutis. On a vraiment bien travaillé. On est assez contents de cet album.
Vous reste t'il quelques morceaux non retenus ?
Fred Dee Ceased. Non, bien sûr. Le problème c'est ça. J'enregistre mes démos et je dis à ma femme "Qu'est-ce que tu en penses?" et elle me répond "Ah, c'est un peu de la merde". Donc après je jette. Généralement le ratio c'est une sur trois. Ça veut dire que je compose trois chansons et on en garde une. En général c'est comme ça qu'on fait. J'ai plein d'autres chansons que je n'utilise pas, qui sont perdues parce que ça ne va pas en fait. Grâce à Pandemonium, elle a un peu plus de recul sur moi car en ce qui me concerne j'ai toujours l'impression que la dernière chanson est la meilleure, évidemment. Comme tous les compositeurs c'est comme ça et elle a assez de recul pour me dire celle-là elle est bien, elle est pas bien, retravaillée, pas retravaillée. Et puis ensuite les textes c'est la même chose. Les influences sont diverses. Ça peut être un bouquin, un film que j'ai vu, un magazine que j'ai lu, un type qui m'approche. Voilà, ça part comme ça. Ensuite j'écris les textes et après comme Pandemonium est portoricaine elle écrit très bien l'américain. Donc elle me corrige. En fait on travaille ensemble. C'est vraiment plus un travail de collaboration car pour le premier album j'avais pas mal de démos donc c'était des trucs que j'avais fait presque seul. Celui-ci est vraiment un album de collaborations avec tous les musiciens. Du coup on a un nouveau batteur Kevin qui es Shadows qui est super et qui a apporté une fraîcheur dans le groupe. Une modernité au niveau de la rythmique et qui a proposé des choses aussi. Il y a eu pas mal de collaborations alors qu'avant j'étais non pas sectaire mais je faisais le truc et il fallait qu'ils suivent.
Y a-t-il un artiste ou un groupe avec lequel vous rêvez de jouer ?
Fred Dee Ceased. J'avouerai qu'en ce moment il y a plein d'artistes que j'adore. Mötley Crüe c'est un rêve ! On a rencontré pas mal de groupes et comme on est avec Another Management on travaille avec des groupes hyper sympas. Porno Graphic Messiah on adore, enfin que j'adore personnellement. Freak Injection aussi. Et puis on avait découvert sur le net Superhorror un groupe italien qu'on a réussi à faire venir et qui sont devenus des potes. Sur "Bag Of Bones" le chanteur de Superhorror fait un petit feet avec moi. C'est d'ailleurs assez sympa qu'il ait accepté
Comment décririez vous votre musique ?
Fred Dee Ceased. Notre musique c'est de l'Horror sleaze Metal. C'est à dire avec une touche Glam sombre et ce petit côté Horror parce qu'on aime beaucoup ça. Tous, dans le groupe, on est très axés sur l'horreur. En principe ça reste toujours à la base, des petites histoires à chaque fois. Chaque chanson est une petite histoire. Si on regarde les titres 'Voodoo Dance" "Necromancer". C'est toujours des petites histoires d'horreur avec ce côté très musicalement proche du Glam. Du sleaze avec une touche horrifique.
Quels sont vos projets pour les mois à venir ?
Fred Dee Ceased. Alors, en fait, on a pas mal de concerts qui se profilent notamment au mois d'octobre. On va faire la 2ème édition de notre Troyes Metal Fest à laquelle on avait déjà participé l'année dernière. On avait fait jouer, justement, Superhorror . En tête d'affiche il y avait eu Banane Metalik et puis aussi nos potes de High-School Motherfucker. Et donc cette année on a la chance d'avoir Punish Yourself qui font leur tournée d'adieux et qui jouent avec nous. Il y a aussi un groupe de Marseille vraiment très bien qui s'appelle WARMLER. Et on voulait faire jouer un groupe de chez nous donc on a fait en amont un petit tremplin. Ce groupe s'appelle InWard Ils viennent de Reims et ont gagné ce tremplin. C'est eux qui vont ouvrir le festival. Après ça, on va jouer à l'Antipode à Paris avec Superhorror. On va jouer aussi à l'Empreinte. Ça c'est super cool. C'est dans le cadre des Apéros Métal. C'est super sympa. En fait il y a pas mal de dates qui sont prévues. On est super heureux, d'ailleurs, de faire ces dates-là car le public répond présent. Les gens ont l'air plutôt contents de l'album. Tout se présente bien et on est assez contents aussi.
Pour finir, si vous ne deviez conserver que 3 choses: un disque, un film, et un 3ème choix ? Quelle serait votre sélection et pourquoi ?
Fred Dee Ceased. C'est dur ça ! Je prendrais déjà tous les films de Romero y compris "Le retour des morts vivants" qui est de Dan O'Bannon mais c'est pas grave. Il est quand même super. Un album de Faster Pussycat Parce que j'adore ou un Mötley Crüe et puis un livre. Peut-être un Lovecraft, un Rod Serling ou un Stephen King. Voilà.
Quelque chose à rajouter ?
Fred Dee Ceased. Notre album est dans les bacs depuis peu. On a sorti un single qui s'appelle "Halloween In Hollywood". On va en faire bientôt deux autres qui ne vont pas tarder à arriver. Et puis, voilà, on est super contents de participer à cet interview. Merci à toi d'avoir pensé à nous. Au plaisir de se voir en live parce que l'important c'est qu'il faut que vous veniez en salle, les gens, pour soutenir toute la scène locale. Que ce soit Sleazyz mais tous les autres groupes aussi. On a vraiment besoin de vous en ce moment parce que c'est dur.
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