"Turn Up That Dial" Sortie le 30 avril 2021 sur Born & Bred Records (distribution PIAS)
Un 10ème album studio produit par Ted Hutt
Ecoutez " Middle Finger " leur nouveau single ICI
Al Barr crache chaque mot de cette chanson avec ce sourire maléfique et pince-sans-rire
qu'on lui connaît, et lorsque le refrain explose on a tous envie de reprendre avec lui :
« I could never keep that middle finger down »
Liste des titres :
01) Turn Up That Dial
02) L-EE-B-O-Y
03) Middle Finger
04) Queen Of Suffolk County
05)Mick Jones Nicked My Pudding
06) H.B.D.M.F.
07) Good As Gold
08)Smash Shit Up
09) Chosen Few
10) City By The Sea
11)I Wish You Were Here
(en hommage à Woody Barr et aux trop nombreuse victimes du COVID)
A travers ces 11 nouveaux titres Dropkick Murphys célèbre le simple plaisir de jouer de la musique, pour balayer nos ennuis, nous soulager et tenter ainsi de nous libérer de ce sentiment d'inquiétude qui semble irrémédiablement rythmer nos journées depuis près d'un an...
« Le thème général de ce disque est l’importance de la musique dans nos vies, et des groupes qui ont fait de nous ce que nous sommes », explique Ken Casey, fondateur et co-chanteur de DKM.
« Nous espérons juste que cet album va permettre aux gens de s'évader. Nous sommes tellement chanceux et reconnaissants d’être en mesure de pouvoir partager un peu de bonheur avec eux.
Il n'y a pas de mots pour exprimer notre gratitude.
Il y a 25 ans, un mec m’a parié 30 dollars que je ne pouvais pas former un groupe en trois semaines pour assurer sa première partie.
Enfant, nous n’étions jamais sortis de La Nouvelle-Angleterre et nous y voilà, nous avons enregistré dix disques et fait le tour du monde grâce à nos chansons.
Notre message est donc très clair : lève ton poing et joue la musique à fond ! ».
Dans cette ambiance de pubs punk celtique qui lui est chère, Dropkick Murphys nous offre une nouvelle série d’hymnes, à commencer par la chanson-titre.
« Turn Up That Dial » met les choses à nu dès son premier couplet : « You’re my inspiration, you got something to say, Now turn up that dial ‘til it takes me away. »
Il est alors facile d’imaginer les membres de DKM encore adolescents en train de se repasser The Clash sur leur Walkman ou leur ghetto blaster, convaincus que leurs formations préférées les défendaient mieux que quiconque face à ce monde hostile. Cet album est alimenté par ce type de groupes qui, à travers des refrains déchaînés, savaient capturer l’énergie de la rue et distiller les complexités de la vie de ces kids de Boston.
Au cours des deux dernières années, suite à une intervention chirurgicale, Ken a dû renoncer à jouer de la basse et dû laisser ce job à son ami de longue date, le technicien Kevin Rheault.
Ainsi libéré du poids de son instrument, il peut désormais rejoindre son pote Al Barr sur le devant de la scène. Ceci a créé une nouvelle dynamique très puissante et enflammée entre les deux chanteurs. Après plusieurs centaines de concerts, leur complicité ne laissait aucun doute, mais en studio, pour ce nouvel album, ce fameux duo vocal explose littéralement les haut-parleurs !
Avec le volume poussé au maximum, on les sent redresser la tête, afficher de larges sourires, et porter leurs regards conquérants le plus loin possible.
Fidèle à son état d'esprit initial, Dropkick Murphys sonne la charge.
Tel un pack indestructible, le groupe interprète chaque titre de "Turn Up That Dial" avec la détermination et l'exubérance qui ont forgé sa réputation scénique,et on ne va pas s'en plaindre, bien au contraire .
Dropkick Murphys: Al Barr (chant), Tim Brennan (guitares, flûte, accordéon, piano, chant), Ken Casey (chant), Jeff DaRosa (guitares, banjo, mandoline, chant), Matt Kelly (batterie, percussions, chant), James Lynch (guitares, chant), Kevin Rheault (basse, en concert) et Lee Forshner (cornemuse en concert).